Chapitre 1: Dans la famille Verneuil, je demande... la soeur
Datte: 25/01/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
copains,
vacances,
campagne,
Oral
pénétratio,
occasion,
Auteur: Appolloxi, Source: Revebebe
... fierté à ces nombreuses réunions philanthropiques féminines où ces dames se remémorent entre elles qu’elles descendent des colons du Mayflower et des révolutionnaires duBoston Tea Party tout en recevant le candidat républicain local… pourvu que ce ne soit pas l’un de ces ruffians d’évangélistes bigots ultraconservateurs. Bref, vous avez compris le tableau : blanc de chez blanc.
Sam, elle, était une fille de la classe moyenne noire de Seattle, démocrate jusqu’au bout des ongles. Heureusement, bien que nos différends politiques aient pu faire l’objet de longues discussions pas toujours courtoises, ce n’était pas notre principal sujet de conversation. Par ailleurs, son cul et ma queue n’avaient pas d’opinion particulière et cela suffisait à nous accorder.
Ainsi, nous nous détendions mutuellement une à trois fois par semaine, parfois jusqu’à deux fois plus en période de stress intense.
Mais dans le cas présent, nous ne pouvions parler de stress. Nous avions reçu nos diplômes depuis quelques jours déjà. Sam avait rendu les clés de son appartement pour éviter de payer un mois de loyer supplémentaire, tandis que pour ma part, je ne m’étais pas échiné à trouver un nouveau logement puisqu’une entreprise de Chicago m’avait convaincu de lui offrir mes services (erhm, erhm).
Entre son déménagement et son avion qui la conduirait dans l’état de Washington, elle avait bien sûr sollicité le gîte en mon humble demeure. Ce que je ne lui refusai évidemment pas. Une nuit… je ...
... pouvais bien attendre encore cela avant de reprendre une vie amoureuse « normale ».
C’est ainsi qu’à quatorze heures le lendemain, sa langue enveloppait encore mon pieu gonflé à bloc, allant et venant à l’envi tout en laissant ses doigts caresser mes couilles. Après la nuit et la matinée qu’elle m’avait fait subir, je restais admiratif de sa capacité à entretenir la vigueur de mon vit.
Sans prévenir, dans un élan de jouissance, se déversa dans sa bouche le peu que mes bourses avaient encore à lui offrir. Et comme à son habitude, elle se vengea en venant m’embrasser goulûment, partageant avec moi les dernières gouttes de ma propre semence.
Au début, cette pratique m’avait franchement révulsé malgré que, comme tout ado, j’avais eu l’occasion de tenter l’expérience du goût anisé de mon propre foutre. Mais cela valait amplement le plaisir de se faire sucer par Sam au point que j’en devins avec le temps complètement indifférent. Peut-être même associai-je cette saveur de stupre avec l’indicible plaisir qu’offraient les fantastiques fellations de ma voluptueuse camarade de jeu.
Elle posa sa tête sur mon torse haletant, me caressant doucement la joue.
— Tu as bien fait de te laisser pousser la barbe, Jim, ça te donne un air très sexy.
C’est vrai que ça me donnait un air plus viril tout en adoucissant un peu les traits de ma mâchoire que je trouvais un peu trop carrés.
Un regard sur le réveil matin : 02:18… de l’après-midi, évidemment.
— Ton avion n’est pas à cinq ...