1. Origines : attaque et prisonniers


    Datte: 22/01/2019, Catégories: contrainte, Oral fouetfesse, historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... et bienveillance.
    
    Un jour qu’une compagnie d’infanterie passait à proximité, elles firent arracher ses dessous à Catherine par leurs bonnes, afin qu’elle soit plus à l’aise pour accueillir les soldats, comme elle avait si bien su le faire à Dorbauxe. Elles n’osent agir ainsi sur les gens de leur maison, craignant une réaction paternelle en cas de débordement avec des filles dont les parents, les grands-parents et parfois sur plusieurs générations servent ou ont servis leurs seigneuries. Les responsables de l’établissement n’interviennent que rarement, devant considérer que tout cela est détails, tant que ça ne concerne pas le personnel employé et que cela ne nuit pas au bon fonctionnement de l’institution. Elles entrent parfois dans le jeu des chipies, quand ces dernières viennent se plaindre de fait réels ou imaginaires afin que les prisonnières soient punies. Un jour même, Elisabeth accuse Catherine du vol de sa trousse de toilette. Elle l’a vue la cacher, Malgré les protestations d’icelle, elle obtient d’appliquer elle-même le châtiment. Son souffre-douleur est immobilisé à plat ventre sur une grosse barrique renversée. Alors la fille du très haut et très puissant duc daigne relever de ses propres mains les jupes et descendre les dessous. Elle savoure de voir les fesses dénudées, avant d’appliquer fermement les vingt coups de palette de cuir, prenant bien soin de les espacer. Elle jubile intérieurement, d’autant plus qu’elle a elle-même dissimulé la trousse.
    
    Une ...
    ... autre victime est le simple d’esprit, que l’on accable d’ordres et de contre-ordres, qui est tarabusté, piqué, battu parfois. Un jour elles le coincent dans le fond du parc et malgré ses gémissements, son air égaré et ses tentatives pour s’éloigner, le font mettre nu et chargent une bonne délurée de s’occuper de lui. Celle-ci, sous l’œil intéressé des pensionnaires commence par prendre son sexe en main et le branler. Elle obtient une certaine consistance, alors elle le prend en bouche et s’applique à le sucer, le lécher, lui montre ses seins. Une surveillante qui passe par-là, choquée, intervient, met fin au jeu et punit… la bonne. Une autre fois, au risque qu’il s’y noie, elles le font choir dans l’étang d’un canot où elle s’efforçaient, sans grand succès, de le faire ramer. Heureusement à force de barbotages désordonnés, il réussit à regagner la rive. Malgré sa situation précaire, Catherine s’efforce de protéger le simplet au risque de retours de bâton.
    
    Pour les prisonniers, aucune libération n’est en vue, à moins d’un hypothétique échange et les nouvelles qui leurs parviennent seraient rares et aléatoires sans le commandant de La Tiémont. Il a le privilège de pouvoir sortir, escorté d’un garde, entre autre pour aller visiter ses hommes sur le ponton et les civils, sans avoir toutefois l’autorisation, à son grand regret, de se rendre à l’institution. Il obtient des nouvelles de l’agent qu’il avait repéré à son débarquement. En contrepartie, il fournit des renseignements à ...
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