Sophie à l'EHPAD (5) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (5)

... de lévrier pour me lécher : les chiens me manquaient !

Monsieur Régis se chargea de ramener mes deux tourmenteurs dans leur dortoir et je restais avec Directrice Régine et Charles. Je dus faire des exercices en testant sous les ordres de Directrice Régine toutes les possibilités offertes dans le gymnase.

Ça me rappelait ma sortie à la piscine avec Josiane et Maîtresse Syl...

Il y avait là aussi un cheval d’arçon et je pris directement la position avec ma tête vers le bas. Directrice Régine m’enfonça dans l’anus une quille blanche ; elle l’avait humidifiée avec le sperme qui coulait à l’entrée de ma fente.

Charles aidait à la manœuvre en écartant mes fesses à deux mains.

Sur l’entrefaite, Monsieur Régis revint et participa à l’intromission. J’étais heureuse de tester un nouvel objet dans ma chatte. Mais m’enculer avec était une autre paire de manche !

J’avais beau aider comme je pouvais en lâchant mes sphincters au maximum, la quille ne dépassait pas l’épaulement après le goulot. La décision fut prise de me masturber avec plutôt que de chercher à me l’enfoncer dans le trou du cul.

La partie évasée s’écrasait contre mes lèvres et le bruit qu’elle faisait avait tendance à énerver le couple. Charles était stoïque et prenait des photos ; je lui tirai la langue.

Je voyais bien à l’accélération du mouvement que c’était eux qui avaient besoin de jouir.

Je me décidai à agir et attrapai la braguette de Monsieur Régis. J’avais peur de m’en prendre une, mais ...

... il me laissa faire. Je l’ouvris et lui sortis la bite que j’ingurgitai directement au fond de ma gorge. Seule Directrice Régine continuait sa masturbation dans mon vagin. Je pris à la main le sexe sorti de ma bouche et fourrai ma tête sous la jupe de Directrice Régine qui se laissa faire également. Ils n’avaient pas l’habitude de la soumission et j’en profitais. J’écartai sa culotte avec ma langue et m’insinuai dans sa chatte en feu. Ses poils me gênaient, mais j’arrivais à mes fins et elle commença à gémir fort.

Dans ma main, la queue était d’une raideur absolue et j’arrivais à faire jouir les deux coup sur coup, juste avec suffisamment de décalage pour avaler le jus de Directrice Régine et le sperme de Monsieur Régis.

Ils étaient rétamés pour la soirée. Moi également !

Ils me promirent un lendemain plus éducatif. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre, mais j’aimais les choses nouvelles et avec Charles je ne craignais rien.

Nous regagnâmes notre chambre, moi, toujours à quatre pattes et à poil. Mon haut était resté dans le gymnase.

Charles se frayait un chemin en repoussant les hommes excités de voir une jeune femme nue remuer du croupion sous leurs yeux avec les seins qui se balançaient et attiraient le regard.

Une fois dans notre chambre, nous étions entourés des regards par-delà la vitre. Charles me doucha et je lui fis une fellation. Il me câlina pour m’endormir. Nos lits étaient côte à côte : il les avait rapprochés. Il me caressa la joue et le front ...