Sophie à l'EHPAD (5) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (5)

Sophie à l’EPAD5

Les préparatifs

Suite à la soirée de « l’Esclave », Charles et Josiane furent chargés des préparatifs et de lier les contacts avec les personnes qui auraient à s’occuper de moi.

La directrice de l’EHPAD les mit en relation avec la directrice du centre d’internement des délinquants sexuels récidivistes, Martial avec la personne qui était responsable de l’organisation logistique et alimentaire des animaux du zoo, Gabrielle avec de la famille africaine, qui avait des ancêtres communs avec elle et qui avait subi l’esclavage.

J’étais tenue à l’écart de toutes transactions, décisions et disponibilités. J’avais donné mon accord en amont et je ne pouvais que dire amen à ce qui m’attendait. J’avais accepté tout par avance, volontaire et joyeuse, comme un serment initiatique, une révélation devenue nécessaire à ma vraie vie, presque un sacerdoce.

Je continuais malgré tout à mener une vie très sexuelle chez Maîtresse Syl, qui remplissait tellement ma vie de bonheur et de surprises. Les chiens m’avaient complètement adoptée et je vivais en famille avec eux. Le peintre venait régulièrement pour des séances de pose ; son tableau avait du mal à trouver la dernière touche. Je crois qu’il faisait durer le plaisir pour pouvoir être en ma compagnie.

Maîtresse avait enfin trouvé l’insecte suprême, celui qui comblerait ses plaisirs les plus fous, le nirvana : le scarabée goliathus. Suivant ses dires, il pesait 150 gammes pour 11 centimètres de long. Pour en ...

... avoir une idée, il était plus long que Mimi, la souris blanche.

Charles avait limé ses griffes et coupé ses petites ailes, pour qu’il ne se sauve pas. Maîtresse l’avait trouvé chez un commerçant très spécialisé à Paris, elle avait dû le payer extrêmement cher. Charles lui avait confectionné avec une fine chaîne, une laisse qui permettait de ne pas l’égarer. Il était frugivore, ce qui était simple pour la nourriture : le bois et le parc étaient son terrain de chasse préféré.

Maîtresse l’avait très vite testée sur moi. Il me pinçait très naturellement, ce qui faisait un énorme plaisir à Josiane.

Mes tétons étaient sa prise favorite et il serrait vraiment fort. Il n’était pas câlin, mais ce n’était pas non plus un animal de compagnie. Il avait fait connaissance avec mon intimité la plus secrète et me procurait moult plaisirs. Ses pinces étaient actives quand Maîtresse l’introduisait dans mon vagin. Sa taille et sa vigueur contribuaient nettement au plaisir qu’il me procurait. Il restait quelques fois plus d’une heure accroché à mon clitoris et j’étais comme une pile électrique durant tout ce temps.

***

C’est Charles qui fut chargé de m’accompagner pour mon premier défi chez les délinquants sexuels récidivistes, avec Maîtresse Mireille, la directrice de l’EHPAD.

L’établissement se situait très en dehors de la ville, loin des habitations près de la côte méditerranéenne, dans un environnement charmant planté de conifères. Nous avions plus de quatre heures de route et ...