Sophie à l'EHPAD (5) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (5)

... mes adieux avec Maîtresse furent pénibles.

Pour l’occasion, j’étais vêtue d’une robe indienne bariolée, fendue sur le côté et d’une paire de sandales lacées sur le mollet.

Maîtresse Mireille me caressait pour apaiser ma rupture d’avec Maîtresse Syl.

Elle y mettait du cœur, si bien qu’elle m’excitait et s’excitait elle aussi.

Charles nous arrêta sur une aire de l’autoroute et nous allâmes dans un bois proche du parking.

Je broutais Maîtresse Mireille et suçais Charles en même temps. Mon décolleté permettait à mes seins d’être accessibles.

Je les fis jouir tous les deux et pour me récompenser, ils me promenèrent près d’un petit étang en contre-bas. On joua un moment, mais je roulais jusqu’à tomber dans le marigot. J’étais couverte de boue. Ma robe était maculée de terre humide et mes cheveux ne ressemblaient plus à rien. Ils étaient embêtés et Charles proposa que je me nettoie dans une station-service.

Quelques kilomètres plus loin, il s’arrêta et demanda la clé des douches normalement réservés aux chauffeurs routiers.

En pleine matinée, il y avait peu de chance de tomber sur l’un d’eux. L’ensemble était spacieux avec une dizaine de cabines et autant de lavabos.

Je me mis nue et leur donnai ma robe pour qu’il la nettoie.

Je ne pensais pas qu’un routier aurait été là, mais il nous avait entendus arriver et n’avait pas fait de bruit pour ne pas se faire repérer.

Il entre dans ma cabine alors que je suis sous l’eau. Sous l’effet de la surprise, ...

... je suis tétanisée et n’ose bouger. Il est nu. Visiblement il sort de sa douche, ses cheveux sont mouillés.

D’entrée, il me fait m’agenouiller et me fore la bouche. Son sexe est court et noueux.

Je me raisonnais : ce n’était pas le fait de sucer un inconnu qui me gênait, mais que Charles ne soit pas avec moi et pas au courant de ce qui se passait.

Je me disais que le mieux était que je m’applique à lui faire une bonne fellation et qu’il me laisserait tranquille une fois qu’il aurait éjaculé.

Mais c’est ma chatte qu’il voulait et ensuite mon cul ! J’avais droit à la totale et Charles qui ne venait pas !

J’arrivai à le faire jouir, mais il exigea que je lèche son sperme tombé sur le carrelage de la cabine. Devant ma docilité, il exigea aussi que je lèche un lavabo, le miroir et le bord des toilettes.

Je commençais à avoir peur de la suite. Il me mit la tête dans la cuvette des toilettes et tira la chasse d’eau. Il me traîna par les cheveux à quatre pattes et devant les lavabos me donna des grandes baffes. Je m’écroulais sur le sol. Il me plia sur son genou et me fessa violemment.

Maîtresse Mireille sortit d’une des cabines, une caméra à la main. Je compris que je m’étais fait avoir et que tout ça avait été manigancé. Le routier me releva et me roula une pelle en me tordant les nichons.

Peu de temps après, alors que nous quittions les douches, Charles me redonna ma robe, encore humide, mais propre. Nous repartîmes et après encore deux heures de route, nous ...