Sophie à l'EHPAD (5)
Datte: 17/02/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... comme mon grand-père le faisait. J’avais besoin de son calme et de ses attentions sensuelles. Je m’endormis en suçant son pouce.
Le lendemain matin, nous fûmes réveillés par le bruit que faisaient les détenus. Le petit-déjeuner se prit dans notre chambre : Monsieur Régis nous le déposa et resta un petit moment pour me voir prendre ma douche. J’appris que j’allais être de corvée de ménage dans le dortoir pour étudier le comportement des délinquants sexuels.
Donc une demi-heure après, Directrice Régine et Monsieur Régis arrivaient. J’étais vêtu avec l’espèce de camisole, mais d’entrée on me l’enleva avec brusquerie.
— Tant que l’on ne te dit pas de la mettre, tu restes à poil ! Compris ?
J’optais pour un wouaf de circonstance. Mais en fait, ça ne changeait vraiment rien, je crois même que j’étais encore plus nue avec le petit haut que complètement déshabillée.
C’est donc à poil que je passais le balai sur le carrelage. Je ne prenais pas garde aux mains qui s’égaraient sur mes fesses quand je passais près des lits. La serpillière suivait. Les directives étaient compliquées, car je devais provoquer les hommes devant lesquels je passais, sans pour autant me laisser tripoter. Soi-disant pour noter leurs réactions...
Moi, je voulais bien que ma présence serve de sujet d’étude, mais comment allaient-ils faire pour expliquer dans le compte rendu que je faisais le ménage à poil ?
Le nettoyage devenait compliqué à faire. Et en plus, je ne suis vraiment pas une ...
... technicienne de surface !
Devant le laisser faire de la direction, les hommes s’organisaient et étalèrent deux matelas au centre du dortoir. Ils m’attrapèrent et me couchèrent dessus. J’étais excitée de les provoquer et heureuse qu’enfin on s’occupe de moi. J’étais sexuellement complètement allumée et prête à me masturber si les choses n’avaient pas évolué.
Je subis une avalanche de témoignages d’amour. Sodomisée par les uns, baisée par les autres et en fellation pour tous : j’étais assaillie de toutes parts. J’apercevais ceux qui ne pouvaient pas m’approcher se branler, leur bite bien droite et leurs couilles pleines de sperme me faisaient envie.
Je dus boire un verre complet de jus d’hommes lors de cette matinée...
Je comprenais les hommes qui préféraient mon cul à ma chatte, ceux qui se libéraient dans ma bouche. Mais quel était le plaisir de me couvrir le visage de sperme ? Était-ce l’expression suprême du mâle dominant, la pire des vexations à m’administrer ou simplement le fait qu’ils pouvaient voir le résultat immédiat de leur éjaculation ?
En tout cas pour moi, c’était une preuve du plaisir qu’ils prenaient avec mon corps. Et pour ne parler que du côté matériel de leur semence, la couleur, la chaleur, l’onctuosité du sperme est le plus délicat des mets que je connaisse.
On devrait en servir dans les restaurants cinq étoiles tellement c’est délicieux ! Le prix serait à mon avis fort élevé. Il faudrait qu’il soit produit et consommé sur place... Comme ...