1. Sophie à l'EHPAD (5)


    Datte: 17/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... poitrine ! Il se saisit ensuite de la corde.
    
    Monsieur Régis me dit d’attraper la prise d’escalade jaune à ma droite et de lever la jambe en même temps. Pour ne plus sentir le harnais qui me haussait de plus en plus fort vers le haut du mur, j’exécutais la manœuvre indiquée. De fait, mes jambes s’écartèrent et j’imaginais déjà la vue que je pouvais offrir d’en bas. Après trois prises d’escalade, je me retrouvais au-dessus des personnes qui me regardaient en levant les yeux. Mais je ne trouvais plus la force d’aller plus loin.
    
    Charles faisait des photos qui devaient être on ne peut plus suggestives.
    
    Directrice Régine stoppa Monsieur Régis pour pouvoir admirer le paysage.
    
    N’y tenant plus, je lâchais ma prise de main ce qui entraîna mon corps vers le vide. Heureusement Monsieur Régis m’assurait bien et je restais accrochée au mur, pantelante et m’éraflant sur les prises d’escales. Ils rigolaient de ma déconvenue et je descendais doucement quand je fus arrêtée à un mètre du sol.
    
    Sur un signe, Directrice Régine fit avancer les délinquants sexuels vers moi. Je me plaquais contre la paroi, mais rien n’y fit. Je crois même que je m’exposais encore plus.
    
    Les deux hommes dont le sexe était à l’air se tripotaient en avançant. Leurs mains me saisirent et palpèrent chaque centimètre carré de ma peau. Ma chatte et mon cul furent investis en premier. Je continuais de me battre avec le mur en m’y accrochant coûte que coûte, ce qui m’empêchait de me protéger des mains avides ...
    ... qui exploraient mes ouvertures.
    
    Et ça laissait aux hommes toute la latitude pour me malaxer également les seins, qui durcirent illico, quand je levai les bras vers le haut. Ma fente s’écartait ; quand je suis excitée, mon clitoris se décapuchonne tellement qu’il sort d’entre mes lèvres. Ça n’échappa à personne et les remarques fusaient sur cette capacité, comme sur la taille de mes tétons. Malheureusement Maîtresse Syl n’était pas là pour leur expliquer ma maladie érectile des tétons et je n’étais pas en mesure de le faire. Mon excitation était à son comble.
    
    Une bouche se colla à ma fente et la rendit encore plus juteuse. Je coulais littéralement entre les lèvres de l’homme dont je découvrais le haut du crâne dégarni. Il me léchait profondément et agaçait mon clitoris électrisé par sa langue fureteuse. J’arrivai, en équilibre, à appuyer sur l’arrière de sa tête comme pour l’enfoncer dans ma grotte.
    
    J’eus un orgasme puissant et lâchai complètement prise, surprenant Monsieur Régis qui me rattrapa de justesse pour me déposer au sol.
    
    L’homme qui me léchait était déjà sur moi, suivi du second qui, bite à la main, forçait ma bouche. J’étais percutée par-derrière dans la chatte et par-devant dans ma gorge.
    
    Les autres regardaient et discutaient entre eux des actions qui se déroulaient sous leurs yeux, comme d’un sujet d’observation. Je n’étais qu’une poupée de chiffon entre les deux hommes. Ils devaient être en manque profond, car ils se vidèrent rapidement en moi. Pas ...
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