Sophie à l'EHPAD (5) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (5)

... sur son sexe pour le caresser en continuant de le sodomiser avec ma main. Je touchais sa prostate et la titillais en même temps que je le masturbais. Il se tortilla quand j’introduisais un second doigt.

Mon majeur rejoignit mon index. J’imprimais à ma main un mouvement plus rapide et la serrai davantage sur sa bite. Je sentais son anus se détendre pour laisser un passage plus important à mes doigts fureteurs. J’avais beau chouchouter sa prostate, rien ne venait.

Je masturbais son anus en même temps que son sexe. Une idée me vint. Quand j’étais plus jeune et que je n’avais que peu de temps pour me faire jouir, j’augmentais ma cadence de respiration, je faisais comme un petit chien qui a parcouru une grande distance en courant.

Je reproduisais cette respiration en continuant ma double masturbation. Par mimétisme, Yves calqua petit à petit sa respiration sur la mienne.

L’impossible se produisait !

Il lâcha son sperme par cascades puissantes et fournies. J’ouvris grande ma bouche et avalai cette superbe bite bandée et tout le sperme qu’elle pouvait me donner.

J’aspirais son jus d’homme chaud et épais.

Un délice !

Il cria de bonheur et me remercia. Il finit sa jouissance à genoux et moi allongée devant lui, toujours avec sa bite dans la bouche. J’avais réussi et j’avais du mal à croire au résultat.

Je devenais une vraie professionnelle du sexe !

La porte s’ouvrit et je vis Maîtresse Syl !

Je me précipitai à ses pieds pour baiser ses chaussures. ...

... Elle me releva et m’embrassa sur la bouche. Sa langue chaude et parfumée se mélangeait au sperme d’Yves.

Elle palpait mes seins et mon entrejambe, me faisait sucer ses doigts mouillés de ma cyprine,

Je fondais à son contact et lui déclarais ma flamme.

— Je vous aime Maîtresse, je vous appartiens. Merci pour tout ce que vous faites pour moi. Je suis prête à mourir pour vous, vous m’avez manqué énormément.

J’étais sincère et je lisais dans les yeux de Directrice Régine de l’effroi mêlé à de l’envie.

Après ces effusions, je me vautrais à ses pieds et attendis son bon vouloir. Elle me caressa la tête tout en parlant avec Directrice Régine du spectaculaire test réalisé sur cet homme atteint du phénomène des couilles bleues.

Tout le monde convergea vers le bureau de la direction. Moi je suivais à quatre pattes, derrière.

J’appris que le site internet me concernant marchait très bien et que de l’argent tombait sur mon compte chaque semaine, que Josiane était en charge de mettre les photos et vidéos en ligne, Charles et le peintre s’occupaient de la mise en scène et des futures séances de pose.

Les internautes avaient des demandes particulières et je devrais les exécuter comme des ordres venant de Maîtresse Syl.

Elle me félicita pour mon endurance, ma capacité et le plaisir que je prenais sous le martinet et me promis de m’en donner plus souvent. Elle ajouta que Josiane aimait beaucoup donner ce genre de punition. Elle avait donc déjà regardé les films et ...