Sophie à l'EHPAD (5) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (5)

... par le faire jouir dans ma bouche et comme je le cramponnais, ma déglutition fit remonter le sperme par mes narines.

Je m’arrachais littéralement à lui et Directrice Régine qui avait compris m’empêcha de m’essuyer avec le revers de la main. Elle me fit prendre en photo par Charles.

Je n’ai jamais vu le résultat, mais j’avais du sperme qui sortait de la bouche et du nez, les yeux probablement bien rouges. Le tableau devait être désolant, mais plaisait à tous.

Charles me guida par les couloirs en suivant mes deux abuseurs.

Ils ne pouvaient s’empêcher de lui donner des conseils pour me faire marcher plus cambrée, les jambes plus écartées, la chatte plus ouverte, les mains bien à plat sur le sol et mes orteils bien droits.

Monsieur Régis ouvrit une porte marquée douche, mais il s’agissait d’une douche un peu particulière avec des barres qui allaient d’un mur à l’autre tout au fond et d’un pupitre près de l’entrée.

Directrice Régine m’attacha les poignets avec des sangles sur une barre horizontale à hauteur de mes bras. Une autre barre parallèle à la première au niveau de mes pieds reçut des liens identiques pour me lier à hauteur des mollets.

Au lieu d’être mise de dos, j’étais mise de face.

Mes pieds devaient être distants de plus d’un mètre. J’étais écartelée.

Directrice Régine prit un énorme tuyau muni d’une manette et d’un bec, Monsieur Régis ouvrit le robinet et je fus aspergée d’eau tiède.

La puissance était énorme et c’était violent à chaque ...

... fois que le jet changeait de place.

Directrice Régine ouvrait et fermait l’eau, ce qui avait pour effet de me donner comme des coups sur le corps. Bien sûr ! les choses n’en restèrent pas là, car et c’étaient mes seins et ma chatte qui étaient visés. Charles filmait malgré l’humidité ambiante.

J’entendais les explications concernant ce traitement réservé aux détenus qui avait pour but de calmer leur appétit sexuel. Pour ce qui me concernait, c’était plutôt le contraire qui se produisait...

Chaque arrivée de l’eau sur mon vagin écartait mes lèvres et me pénétrait comme un sexe.

Je tremblais de plaisir et non de pénibilité comme semblait le croire Monsieur Régis.

Au final, j’eus droit à un nouvel orgasme sous la pression de l’eau tiède dans ma chatte.

Je pendais dans mes liens quand Monsieur Régis me détacha.

Charles me coucha et me donna son orteil à sucer pour m’endormir.

Au petit matin, Charles m’annonça que le dernier jour de mon premier défi était arrivé. Je n’avais que la journée à passer encore dans cet endroit.

Directrice Régine voulait me faire passer un test avec un délinquant particulièrement violent.

Elle m’expliquait qu’il souffrait du phénomène des couilles bleues. Le terme médical est hypertension épididyme. Il s’agit pour un homme de ne réussir à éjaculer, d’avoir toujours envie et bien sûr les bourses restent très sensibles, voire douloureuses.

Elle voulait donc que je le fasse jouir. Sûrement que Maîtresse Syl lui avait raconté ...