Sophie à l'EHPAD (5) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (5)

... comment j’avais réussi avec l’homme atteint de priapisme. Mais j’ignorais si je pouvais faire quelque chose pour lui.

Il était à l’isolement à cause des violences qu’il perpétuait même envers les hommes.

Elle parla avec Monsieur Régis et Charles et convint que je devais être seule avec lui. Ils pourraient suivre l’échange par caméra interposée. Charles aurait une copie de l’entretien.

Il fallait que je trouve la délivrance sexuelle pour la bonne cause, faire comprendre à cet homme qu’il était en déni d’orgasme. La chose me semblait bien compliquée.

Je n’étais pas docteur, ni psychologue, juste une jeune fille de 19 ans avide de soumission et amoureuse de sa Maîtresse.

Je pensais tester la pression sur sa prostate, mais à part ça, je ne voyais pas grand-chose à faire.

Je fus préparée par Monsieur Régis. Il me fit allonger sur le lit d’auscultation et les pieds dans les étriers, il me massa avec un gel pour faciliter les pénétrations. Il s’enfonçait au fond de mon vagin et allait loin dans mon conduit anal. Il me déconseilla de lui adresser la parole.

Les préparations anale et vaginale terminées, sans mon collier, j’étais on ne peut plus nue en pénétrant dans la chambre d’isolement.

Je voyais Yves avec appréhension (c’était le prénom du délinquant), il portait une camisole de force qui lui liait les mains dans le dos. Le reste du corps entièrement nu, il était particulièrement bien membré, entièrement rasé.

Sa bite était à l’horizontale et ses ...

... bourses dessous étaient gonflées comme des ballons.

Ses yeux étaient interrogatifs, il se demandait ce qu’une fille comme moi venait faire dans sa chambre, qui plus est, complètement à poil. J’étais suspendue à ce qu’allait faire Yves et restais devant le porte qui s’était fermée derrière moi. J’avais encore le bruit de la serrure que l’on verrouille dans les oreilles alors qu’il avançait dans ma direction.

J’optais pour la soumission pour ne pas le défier en restant debout et me prosternais à ses pieds.

Il resta interrogatif alors que peu rassurée, j’entreprenais de le caresser par en dessous.

Il me regarda faire sans un geste, probablement avait-il plus l’habitude de prendre l’initiative en se jetant sur les femmes comme sur des proies potentielles.

Je passais ma main sur ses bourses brûlantes, ma langue suivit pour le rafraîchir un peu. Je parcourais ses deux couilles dessus, dessous, tout autour. Je poussais l’exploration sur sa bite en suivant de la langue sa veine bleue gonflée de désir.

J’arrivais sur le gland complètement décalotté par l’érection tonique qu’il avait. J’évitais de me servir de mes mains, sûrement trop rudes pour ses parties sexuelles.

Je passais ma tête entre ses jambes, qu’il écarta par réflexe et pratiquai une feuille de rose avant de lui introduire un doigt dans le trou du cul. Ma langue avait bien lubrifié bien son anus et l‘avait préparé pour recevoir mon index. Je le sondais, mais comme il me semblait impatient, je passais une main ...