1. Sophie à l'EHPAD (5)


    Datte: 17/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... démontaient. !
    
    Je n’étais qu’une poupée entre leurs mains.
    
    Je ne faisais pas le poids et d’un coup je trouvais que j’avais été trop virulente avec mes réponses.
    
    Près de vingt minutes plus tard, tous avaient éjaculé. J’étais collante des cuisses aux cheveux.
    
    Pour une fois que j’avais eu des vêtements, ils étaient eux aussi poisseux du sperme des quatre hommes. Monsieur Régis les raccompagna dans leur dortoir.
    
    Je restais au sol pour récupérer et espérais la fin de la séance.
    
    Directrice voulait mes impressions sur ce qui s’était passé et si je me sentais responsable des débordements. Elle se mit à ma hauteur et ôta mes habits au fur et à mesure des réponses que je lui fournissais. Une fois à poil et à quatre pattes, elle demanda à Charles de récupérer le jus d’homme sur ma peau pour me le donner à manger. Elle avait repris à son compte ses habitudes.
    
    À la fin de cet interrogatoire - il faut bien appeler les choses par leur nom, au vu de la manière dont ça se déroulait - j’étais nettoyée.
    
    Elle reprit les réponses qui ne lui plaisaient pas et j’eus droit à un coup de martinet à chaque fois que ça ne correspondait pas, selon elle, à la réalité.
    
    Ah ! là je comprenais que je payais la façon dont je lui avais répondu au moment de l’habillement. Elle avait des dons pour me maltraiter.
    
    Les coups pleuvaient et elle n’avait plus besoin de se justifier pour prendre du plaisir à me cingler. C’était compliqué pour moi, qui étais sur la paume des mains et le ...
    ... bout des orteils, d’éviter les coups.
    
    Ils allaient entre mes jambes écartées pour l’occasion. Mes seins, touchés par des coups portés de bas en haut, tressautaient à chaque assaut. Mon dos ne semblait pas une zone propice, alors que dans les films, c’est là que les méchants punissent les gentils martyrisés.
    
    Charles filmait. Je le voyais à la façon dont il tournait autour de moi. Directrice Régine était en eau, tout comme moi. Elle s’agenouilla derrière moi et je sentis sa bouche se coller à ma chatte en même temps que le manche du martinet me pénétrait l’anus.
    
    Elle resta un long moment collée à mon ventre et je jouis à en perdre l’équilibre. C’est pire de jouir dans une position inconfortable ! Elle se laissa aller à se toucher entre les cuisses et vint à son tour. Elle avait l’esprit vif, car elle repoussa Charles qui voulait la filmer.
    
    Nous étions toutes les deux vautrées sur le sol quand Monsieur Régis entra.
    
    — Et moi ?
    
    C’est vrai que je l’avais oublié ! Mais lui pas du tout !
    
    Il sortit sa bite et me tira par les couettes pour me relever et me mettre à genoux.
    
    Je l’avalais jusqu’à ma glotte sans m’étouffer. Ma langue sous son sexe le titillait et je le sentais grandir au fur et à mesure. Ce que j’aimais avec les hommes, c’était prendre leur bite toute molle dans ma bouche et la faire grossir sans la sortir.
    
    Il poussa et ses couilles touchèrent mon menton. Je m’accrochais des deux mains à l’arrière de ses cuisses.
    
    Je respirais par le nez et finis ...
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