Sophie à l'EHPAD (5)
Datte: 17/02/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... saisissait ma langue.
Après quelques coups de la main portés sur ma chatte écarquillée, elle vérifia si mon clitoris répondait normalement, si mes fesses étaient encore chaudes.
— Tu vas très bien, on va pouvoir continuer les tests alors.
Je n’osais me plaindre et aboyais une fois.
Il y avait sur une table des vêtements étalés.
Elle joua à la poupée avec moi, me parla comme à une enfant, voire même comme à un bébé.
Elle me passa des socquettes blanches, des chaussures vernies noires, une jupe plissée écossaise et un chemisier blanc. Charles l’aida à faire mes couettes et y mettre un petit nœud rose. J’avais l’air d’une petite fille de bonne famille.
C’était l’effet recherché.
D’ailleurs elle expliqua à Charles que le but était de faire réagir les détenus en face d’une pseudo jeunette. C’est vrai qu’avec mon mètre cinquante-cinq et mes quarante-cinq kilos, je faisais un peu Lolita.
Plus de collier, ce qui était très rare et bien sûr, pas de laisse. Le tout passa dans la main de Charles.
— Voilà, tu vas sagement aller te promener avec ton papy et nous rejoindre au réfectoire.
Wouaf ! Je lui fis un bisou sur le dos de la main quand elle m’aida à descendre de la table.
Je voyais dans ses yeux une interrogation, suivie d’un durcissement de ses traits. Elle devait se dire que ça me plaisait et du même coup qu’elle pouvait aller plus loin dans ses expérimentations.
Charles me balada une demi-heure dans tous les coins de la clinique et ...
... nous finîmes au réfectoire.
Quatre hommes étaient attablés, mais Monsieur Régis veillait au grain.
Je dus faire le tour des tables pour donner un baiser sur chaque joue aux détenus et leur dire :
— Bonjour papa, j’ai été sage à l’école, tu sais. Je suis une grande fille maintenant.
Certains me demandaient des détails sur ma soi-disant journée et je devais leur répondre. Seuls deux des hommes avaient les mains baladeuses, contrairement à ce que je m’attendais. Je fis le constat un peu à regret : je pensais qu’ils m’auraient sauté tous dessus.
Je voyais Directrice Régine qui prenait des notes. Après tout, elle faisait peut-être réellement un rapport concernant les détenus.
Du coup, je m’appliquais encore plus dans mes réponses, je nouais un dialogue avec eux.
Ce n’était pas une bonne idée ! Plus je répondais un peu niaisement, plus je voyais qu’ils étaient excités.
Le prévisible arriva et je me retrouvais avec les quatre sur le dos, si j’ose dire !
Ils ne prirent pas la peine de me dévêtir. Ma jupe plissée était troussée autour de la taille. L’un deux était dans mon cul et m’avait allongée, l’autre avait envahi ma chatte. Le troisième était dans ma bouche et le dernier dans ma main droite. Je subissais tout ce qu’ils voulaient bien me faire endurer.
Personne de la Directrice, de Monsieur Régis ou de Charles (toujours à ses photos) ne bougeait.
Ils avaient décidé de laisser faire les délinquants sexuels. J’en prenais de partout. Ils me ...