Mise à nu sous les feuillages / Sur un banc public - Histoires de Sexe

Mise à nu sous les feuillages / Sur un banc public

... puissance, de force, d’envie. Envie d’être pressé par des doigts soyeux ou d’être emprisonné entre deux lèvres charnues qui sauraient avaler ce fruit dont le rose un peu foncé étincelle en ce petit matin.

Elle ne peut que le saisir furtivement au cœur de son appareil-photo. Elle le cadre au milieu de l’objectif, elle s’applique, elle ne veut perdre aucun des détails qui la fascinent, elle veut le saisir dans son authenticité. Fébrile et comme épuisée elle appuie sur le déclencheur, elle craint d’avoir échoué dans cette première tentative. Moins impressionnée elle recommence une deuxième fois moi, maintenant il est bien enfermé, il ne peut plus s’esquiver.

Je prends peur d’avoir été aussi audacieux et inconscient, je range ma verge avec difficulté, elle est trop volumineuse, elle s’est développée hors de ses dimensions habituelles tant cette situation inconnue d’elle à décuplé ses ardeurs. Puis elle a pleinement profité de cette liberté inespérée que je lui accorde très rarement. Je sais déjà que je renouvellerai cette expérience tout à fait érotique. Elle mouille, pourra-t-elle redevenir rapidement sage, bien repliée au creux du tissu qui l’enveloppe ? Cela n’est pas aussi évident mais je ne veux pas y penser, je suis ailleurs. Je l’ai fait, j’ai osé. Cette femme est encore une inconnue pour moi mais je pressentais que je pouvais le faire. Elle en serait ni offusquée, ni choquée, plus que simplement amusée, mon gland l’avait passionnée. Je ne devais pas en chercher ...

... les raisons, peut-être était ce tout naturellement l’effet de cet étrange fluide qui prenait corps entre nous. Mais nous ne pouvions pas en rester là, je souhaitais qu’elle aussi s’engouffre dans cette aventure.

— Et toi, peux-tu me montrer le tien, lui demandé-je ?

Je ne voyais pas à cet instant ce qui aurait pu l’empêcher de faire de même, si ce n’est l’intrusion impromptue d‘une personne étrangère à notre première cérémonie sensuelle.

— Est-ce que je peux le prendre en photo, lui proposé-je sans trop d’hésitation, persuadé qu’elle ne me le refuserait pas, même si en l’espace de quelques secondes j’en exigeais beaucoup d’elle ?

Je la contraignais sans lui avoir longuement parlé, sans l’avoir préparée à se départir de sa pudeur toute féminine. Je l’offensais presque, mais elle ne pouvait pas ne pas accepter ma proposition indécente.

Elle me tend alors l’appareil-photo, m’explique où je dois appuyer et comment cadrer l’objectif. Je m’approche un peu du banc afin de saisir au mieux ce qu’elle va me révéler. Je sais qu’elle porte des strings et j’espère une vision très coquine d’elle mais peut-être pas aussi généreuse de ce que j’ai moi-même osé.

Elle relève lentement sa jupe, pose un pied sur le banc et écarte les jambes. Je retiens ma respiration, je tremble un peu, cette remontée de son vêtement me paraît interminable et je suis prêt à la supplier d’aller plus vite. Tout d’un coup, sans que je na sache trop comment, je découvre le tissu de son string, ces ...