1. Derrière le masque ou la fabrique des fantasmes. (2)


    Datte: 12/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... toutes les femelles de la tribu.
    
    Il parait que c’est un langage universel car la crainte disparut avec l’érection et j’eus bientôt cinq belles tiges autour de moi.
    
    Là encore, il y avait un chef qui prit l’initiative en m’enfilant brutalement, sans manières et sans préliminaires. Les autres attendaient patiemment leur tour en se pignolant et le gang bang s’organisa par ordre de préférence. Cependant, il y eut un esclandre entre le quatrième et le cinquième, deux jeunes hommes qui se disputaient la préséance et je crus comprendre que l’un d’eux n’avait pas encore atteint certaines qualifications pour pouvoir saillir. Pourtant, aux cicatrices de son corps, au javelot qu’il tenait à la main, à la toison fournie de son pubis et à sa bite élancée, on pouvait croire qu’il avait toutes les aptitudes requises. Mais les autres l’écartèrent et je le vis tourner les talons à regret, d’autant que ses fesses étaient admirables. Aussi décidai-je de le rappeler et de m’occuper de sa bite en le suçant vigoureusement et en promenant mes mains sur son agréable partie charnue.
    
    Pour gagner en efficacité, j’abandonnais la levrette, forçai le gars qui me sautait à s’allonger pour que je m’empale sur sa tige puis j’avalais le dard du jeunot qui en gémit de gratitude.
    
    C’étaient vraiment de bonnes bites. Le jeune chasseur-cueilleur que je suçai découilla abondamment dans ma bouche, suffisamment pour que j’en recrache sur mes seins tout en avalant une ...
    ... dose significative et nutritive. C’est comme si j’avais tété une vache au pis. Quand le sperme toucha le masque-pendentif, les picotements me reprirent et je ressentis une forte chaleur entre mes deux mamelles.
    
    Je me mis en missionnaire pour que le dernier achève de me bourrer. Il éjacula bruyamment, puis se retira, la queue encore toute dégoulinante. Ma chatte était pleine de son foutre et de celui de ses trois précédents comparses, ma bouche aussi et mes seins en étaient couverts. J’étais aux anges. Alors mes cinq amis reprirent leurs armes et disparurent.
    
    Le masque aussitôt se mit à grossir pour atteindre sa taille normale. Le fantasme était terminé. Il reprit de lui-même sa place. Tout devint noir et je me sentis comme aspirée vers le haut.
    
    Enfin, je revins à moi dans le confort de mon lit.
    
    Le masque gisait au sol. J’étais claquée, harassée, moulue, la chatte en feu et le derche en compote, mais satisfaite par la puissance de ce voyage virtuel. J’entrepris de me caresser lentement les tétons encore durs. Ils étaient poisseux. Je réalisai alors que j’avais du sperme plein la bouche. Je portai alors la main à ma vulve. Mon sexe était encore rempli de jus qui s’en écoulait. Les draps en étaient inondés.
    
    Que s’était-il passé ? Un mec aurait-il profité de mon sommeil ? Je jetai un coup d’œil à mon réveil. 21 H 34 ! La date n’avait pas changé et il s’était passé moins d’une minute depuis que j’avais enfilé le masque...
    
    A suivre. 
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