1. Derrière le masque ou la fabrique des fantasmes. (2)


    Datte: 12/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... devait être assez sommaire. Mais mon fantasme corrigea aussitôt la situation et les trois individus furent dotés d’une denture saine et rutilante comme pour une publicité de dentifrice.
    
    Ils promenaient leurs mains calleuses sur mon corps et appréciaient mes seins. Ils n’hésitèrent pas non plus à me doigter et même à me tester le cul à coups bien sentis d’index et de majeurs.
    
    Il était temps de vérifier la rigidité de leurs bites. Je me penchai vers le magnifique morceau du plus jeune. La vache ! Ça puait ! Je ne pouvais quand même pas les doucher... mais je diminuai cependant les effluves et tant qu’à faire, je débarrassai son épaisse toison pubienne, ainsi que celle des autres, de la colonie de morbaques qui s’ y étaient établis. Dans la foulée, puces et poux furent décimés. Cela ne prit qu’un instant. La rapidité d’exécution d’un fantasme est immédiate.
    
    Toutes dispositions étant prises, j’attaquais le zob. C’était vraiment de la belle et bonne queue qui tenait bien en bouche.
    
    Les plus âgés avaient mis leurs fourrures à terre et je me mis à quatre pattes tout en continuant de sucer. Aussitôt, je sentis des mains vigoureuses me saisir au niveau des hanches et une bite bien raide vint se frayer un chemin jusqu’au fond de mon vagin.
    
    J’eus du mal à garder mon équilibre, tellement le gars me secouait. Celui qui regardait tripotait sa bite. Je lui fis signe d’approcher. Ainsi, je pouvais pomper alternativement les deux mecs restés debout.
    
    Celui qui me ...
    ... tringlait, et que je considérais comme le chef décida de se faire bouffer la bite à son tour. Mais, comme il quittait la place, son acolyte me souleva d’un coup, me colla face à lui et m’empala en me soutenant par les cuisses. Ce que voyant, l’aîné vint se coller à mon cul avec la ferme et manifeste intention de le défoncer. Seulement voilà, j’avais beau mouiller, le mandrin était trop gros pour entrer en douceur. Évidemment, un tube de gel aurait réglé l’affaire assez vite, mais il était difficile d’en trouver il y a environ 30 000 ans. Quant à inclure une pharmacie avec le rayon adéquat dans mon trip, autant revenir au XXI° siècle. Il n’y fallait pas songer.
    
    Il y avait une autre solution, stimuler ma propre lubrification naturelle. Seulement, je fis chou blanc et dus me rendre à l’évidence: si j’arrivais à transformer mes fantasmes et leurs acteurs, je n’avais aucune prise sur moi-même. Je m’en rendis compte en essayant de me faire gonfler les seins démesurément. Ils ne bougèrent pas d’un poil, si j’ose dire, et restèrent dans l’état, déjà fort avantageux, où le masque avait bien voulu les mettre.
    
    Il ne me restait plus qu’à dire adieu à mon fantasme ou à l’accepter tel qu’il était. Je choisis la dernière solution. Après tout, si c’était trop pénible, j’y mettrais fin.
    
    Ce fut pénible. La grosse queue me déchira l’anus pendant que le primitif, non content de m’infliger une telle douleur, me ponçait les tétons en tirant dessus comme un malade.
    
    Je n’y tins plus et décidai ...