1. Derrière le masque ou la fabrique des fantasmes. (2)


    Datte: 12/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... d’abréger. Mais il ne se passa rien. Je me rendis compte alors qu’il était impossible de mettre fin au scénario une fois qu’il avait démarré. Je pouvais le transformer, mais pas l’arrêter. Je résolus donc de diminuer la bite du gars qui m’enculait jusqu’à ce que cela fonctionne, tout en lui gardant une taille et une robustesse qui me combleraient. J’obtins des résultats qui me permirent de continuer à me faire prendre comme je le souhaitais, c’est-à-dire, profondément, violemment, mais à mon rythme.
    
    Ce double préhistorique me comblait d’aise. La performance des queutards était digne de louanges. Raides, endurants, vicelards, les gars m’emmenèrent au septième ciel, surtout quand le premier éjacula dans ma chatte à gros bouillons, comme je le désirais. Le chef vint alors m’enconner tandis que le plus jeune entreprit à son tour me péter les fesses. Mais comme l’aïeul y avait déjà bien travaillé et que la rondelle était souple, élastique et évasée, je n’eus pas besoin de réduire le calibre du braquemart malgré les premiers moments pénibles.
    
    Le jeune entreprit d’insérer sa bite dans ma chatte en même temps que celle de son père. Il fallut me mettre au sol pour y arriver, le père en dessous, le fils dessus. Ainsi, ils me ramonèrent consciencieusement avec force grognements que j’interprétai comme les jurons de l’époque. Ils déchargèrent presque simultanément et me remplirent de foutre.
    
    S’étant bien purgé les couilles, les types reprirent leurs fourrures et disparurent ...
    ... dans la forêt. Je mis du temps à détourner mon regard de leurs dos puissants et de leurs culs bien bombés.
    
    Il était temps de dormir et de mettre un terme à mon expérience, le fantasme étant achevé. Mais il ne se passa rien. Je restai là, j’errai dans la nature, je triturai le masque-collier, mais cela n’eut aucun effet. Je ne revins pas à la réalité, je ne me réveillai pas. Je revis alors distinctement l’image du vieux vendeur qui m’avertissait de trouver le chemin du retour. Je commençai à m’inquiéter. M’étais-je endormie ? Etais-je en train de rêver ? Un rêve qui commença à tourner au cauchemar dans une contrée sauvage où les premières couleurs du soir teintaient le ciel...
    
    J’eus soudain l’idée d’activer un autre fantasme pour sortir de cette situation. J’en essayai plusieurs, avec une vedette de cinéma, un acteur porno, un régiment de parachutistes, etc. en vain. J’étais bloquée dans mon époque. Je tentai donc un autre fantasme préhistorique en essayant pour le coup de trouver une tribu d’homo sapiens sapiens, notre espèce. Et hop, j’y avais à peine pensé que survinrent cinq jeunes chasseurs à la peau très noire. Plus élancés, vêtus d’un simple pagne, ils eurent peur en me voyant. J’entrepris de les rassurer et m’imaginais un matelas de mousses et de lichens où je pourrais me mettre à quatre pattes. Je le fis confortable à souhait, m’y disposai en montrant ma croupe aux hommes comme je l’avais vu faire dans la "guerre du feu" où le héros est invité un moment à saillir ...