Kathy, ma petite punk (1) - Histoires de Sexe

Kathy, ma petite punk (1)

... bouge plus, c’est moi qui vais le faire.

Assise à l’envers sur ma queue, elle se soulevait avec ses mains, en poussant sur mes cuisses. Puis elle se laissait tomber lourdement et venait s’empaler. Je sentais ma verge se tordre en elle et mon gland heurter violemment le fond de sa vulve. Elle écarta les cuisses en grand et son collant, à peine baissé, se déchira ...

— Et maintenant, me demanda-t-elle en soufflant très fort, allonge-toi sur le dos, toujours sans te retirer. Et baise-moi bien ...

Nos corps luisants glissaient l’un contre l’autre, mais malgré tout, je la tenais fermement. Dans la pièce, on entendait seulement le bruit de clapotis régulier de ma queue qui coulissait dans sa chatte. Et je n’avais toujours pas envie de jouir.

— Oh je t’aime Kathy ...

— Moi aussi Seb’ ...

Sans lui demander son avis, je la remis à quatre pattes et la pénétrai à nouveau, cette fois sans son aide, tout seul comme un grand.

— Tu aimes monter ta petite soeur mon ange ?

— Oh oui ... Oh putain oui ! Je te jure que oui ...

— Je suis bonne ?

— Oui ...

— Dis-le moi ... Articula-t-elle péniblement, en respirant de plus en plus fort.

— Tu es bonne Kathy .. Super bonne ...

— Oh mon grand frère ... Tu te rends compte ? Tu te tapes ta petite soeur ? Et si tata nous entendait ? Gémit-elle.

— Elle viendrait dans la chambre et elle nous punirait ...

Je n’étais plus puceau ... Et vu comment Kathy délirait en se mettant le poing devant la bouche pour ne ...

... pas crier, je n’avais pas à rougir de ma prestation ... Et elle m’excitait grave avec ses histoires de tata fâchée. Je n’osai pas lui parler des punitions auxquelles je songeai : Catherine avec ses talons de secrétaire médicale et une cravache, en train d’enculer sa nièce avec un gode-ceinture démesuré, pour lui apprendre à se tenir ... Puis ma sentence à moi : baiser " tata " Catherine très dur, jusqu’à l’aube, en me faisant engueuler : " Ta soeur ! Tu baises ta petite soeur espèce de cochon ! Et maintenant tu te fais ta tante ... Tu n’as pas honte ? Allez, plus fort : applique-toi au moins ... " ... On avait connu pire cauchemar ...

Bientôt, Kathy se contracta et poussa quelques petits cris de chatte qui, dans le silence de la nuit, durent parvenir jusqu’aux oreilles de sa tante. Elle venait de jouir ...

— Tu peux venir en moi ... Pas de danger. Souffla-t-elle, épuisée.

Je lui infligeai aussitôt une violente série de coups de queue, ce qui la fit partir d’un petit rire mutin :

— Hé, mais tu fais quoi ? ... Han ! ... Tu essayes ... Han ! ... de ... Han ! Han ! ... de m’impressionner gros ma ... Han ! ... macho ?

Je la fis tomber à plat ventre et redoublai de violence, faisant claquer mes cuisses contre ses fesses. Ce bruit aussi Catherine devait l’entendre. Elle se branlait peut-être en nous écoutant, les jambes écartées, à poil, en porte-jarretelles, en essayant d’imaginer ma grosse bite et ce que je faisais à sa petite nièce ... Bientôt, je remplis le con de ...