1. Kathy, ma petite punk (1)


    Datte: 25/12/2018, Catégories: Hétéro Auteur: walter88, Source: Xstory

    Malgré toute l’affection et le respect que j’éprouvais pour Kathy, il fallait bien l’avouer : elle avait tout de même de la merde dans les yeux ... Dès qu’elle était défoncée, elle se jetait dans mes bras, en prétendant qu’elle m’aimait et que j’étais le grand-frère qu’elle n’avait jamais eu, et cela, sans jamais se rendre compte que ces effusions me flanquaient une trique carabinée. Pourtant, quand je bandais contre elle, je ne faisais pas semblant : c’était à m’en faire péter la braguette, à ne plus pouvoir marcher droit ... Aujourd’hui encore, je m’interroge : une fille - en blouson - qui se retrouve avec son ventre contre la queue d’un mec qui bande comme un taureau - dans son pantalon - peut-elle vraiment ne rien remarquer ?
    
    Elle était jolie Kathy avec son petit derrière bien ferme. Elle n’avait pratiquement pas de seins mais des jambes superbes, sculptées par la marche. Son visage et sa voix étaient d’une très grande douceur, ce qui ne voulait pas dire - ah ça non ! - qu’elle manquait de caractère. Quant à ses grands yeux bleus délavés, ils me faisaient fondre. Je n’avais qu’une vingtaine d’années et aucune fille ne m’avait encore jamais regardé avec autant d’amour ...
    
    Ses cheveux courts, plaqués sur son crâne à part des grandes mèches qui lui tombaient jusque sur les lèvres, étaient teintés en noir ou en blond, voire les deux à la fois, selon les saisons. Ses tenues ne faisaient pas l’unanimité, mais même les mecs les plus bornés étaient bien forcés d’admettre ...
    ... que dans son style Kathy avait la classe totale : elle portait, en toutes circonstances, des vestes en cuir cloutées et des jupes ultra courtes et destroy En hiver, pour affronter le froid, elle portait tout simplement deux ou trois paires de collants. Enfin, elle ne mettait jamais de talons mais des Doc Martens et autres bottes de combat ...
    
    Il m’avait toujours semblé évident qu’entre nous rien n’arriverait jamais. Au moment où commence cette histoire, cela faisait deux ans que nous nous fréquentions. Depuis que nous avions fait connaissance, dans des circonstances peu ordinaires, dont je parlerai peut-être une autre fois, nous nous étions souvent retrouvés dans le même lit après des soirées passées à nous confier l’un à l’autre, mais rien ne s’était jamais passé ... Dès que nous nous glissions sous les couvertures, toujours à peu près habillés, elle se faisait distante et s’endormait presque aussitôt. J’en avais passé des nuits à promener mon nez dans ses cheveux, à effleurer ses lèvres entrouvertes et à soulever les couvertures pour regarder son corps ... Mon plus haut fait d’armes ? L’avoir embrassée sur la bouche pendant son sommeil, en me tripotant du bout des doigts à travers mon caleçon. Je n’avais jamais osé promener ma queue contre elle ou la lui mettre dans un main. Ce n’était pas l’envie qui m’en manquait, mais ce ne sont pas des choses qui se font, à aucune femme ... Alors, quand je n’en pouvais vraiment plus, je finissais par aller me branler aux chiottes, ...
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