1. Kathy, ma petite punk (1)


    Datte: 25/12/2018, Catégories: Hétéro Auteur: walter88, Source: Xstory

    ... l’autre sous sa jupe pour essayer de lui toucher les fesses.
    
    Mais soudain, une voiture de police, que nous n’avions pas vue venir, s’arrêta à notre hauteur. Mais finalement, la bagnole continua sa route.
    
    — Allez, on y va. Décida Kathy en se levant. Ils peuvent revenir ...
    
    Mais un peu plus loin, elle voulut à nouveau s’arrêter :
    
    — Trop envie de faire pipi. Expliqua-t-elle.
    
    Et elle, qui était d’habitude si pudique, souleva sa jupette, baissa son collant et son string noir en dentelles, avant de s’accroupir sous mes yeux, entre deux bagnoles, pour uriner au moins un litre. Je n’avais eu le temps de voir ni ses fesses ni son sexe, mais la vision des collants et du string baissés jusqu’à la moitié de ses cuisses blanches m’hypnotisait. Finalement, elle se redressa, en s’appuyant sur une des voitures, alors que sa pisse s’écoulait dans le caniveau, en emportant les quelques feuilles de platane qui s’y trouvaient. Elle remonta son slip et son collant, en regardant dans le vide et en titubant. Elle fut forcée de s’y prendre à plusieurs reprises et avant qu’elle ne soit totalement rhabillée, j’eus tout le loisir de contempler son sexe surmonté d’un triangle de poils clairs bien dessiné et taillé à ras ...
    
    — Et toi ? Tu n’en profites pas ?
    
    — Tu ... Tu as raison. Balbutiais-je, alors que j’avais surtout envie de me soulager d’une autre manière.
    
    Je me tournai un peu, ouvris ma braguette et fis jaillir ma queue qui à cet instant-là était aussi dure qu’une ...
    ... matraque ... Et je restai là comme un con, la bite à l’air et en l’air, à un mètre de Kathy, qui m’attendait en tirant sur ses collants et en s’efforçant de ne pas me regarder. Je décidai finalement de rentrer ma verge.
    
    — Tu n’as pas fait pipi ? S’inquiéta Kathy.
    
    — Non, plus tard peut-être ...
    
    J’étais persuadé que la marche jusqu’à chez elle allait l’avoir calmée, mais une fois dans sa chambre, dans laquelle nous étions montés directement, elle vint se blottir dans mes bras.
    
    — Oh je t’aime tellement ... Avec ma tante et ma cousine, tu es ma seule famille ...Tu seras toujours là pour moi ? Tu me promets de ne jamais m’abandonner ?
    
    — Bien sûr, balbutiai-je.
    
    — Et si des salauds me font du mal ?
    
    — Je les massacre ... Je sors le manche de pioche s’il faut ... Je suis prêt à tuer pour toi ...
    
    — Oh mon chéri ...
    
    Et elle fit un pas en arrière et laissa sa veste tomber par terre, en se mordillant les lèvres. Sa jupette suivit le même chemin ... Et elle s’approcha de moi, fit glisser mon perfecto sur mes épaules, puis s’attaqua à mon jean serré et bientôt, elle m’embrassa sur la bouche, tendrement, puis avec la langue et davantage de fougue, en pétrissant mes couilles et ma pine à travers mon caleçon. Je n’en revenais pas ...
    
    — Oh mon chéri, soupira-t-elle encore. Le voilà ton gros manche de pioche ...
    
    Et sans quitter mon visage des yeux, elle s’agenouilla et baissa mon caleçon d’un coup sec. Elle prit ma queue dans sa main, puis dans sa bouche, le gland ...
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