Kathy, ma petite punk (1) - Histoires de Sexe

Kathy, ma petite punk (1)

... d’abord, qu’elle avala en entier. Puis, après une courte pause, elle engloutit ma pine jusqu’à la racine. Et elle me tailla une pipe d’anthologie, ne s’interrompant que pour me rappeler que " chut mon ange, ne fais pas trop de bruit, ma tante dort à côté ... " Très vite, je me sentis défaillir. C’était la première fois que je me faisais sucer et je comprenais pourquoi les autres mecs en faisaient toute une histoire. Bientôt, Kathy agrippa mes fesses et me pompa plus vite et plus fort avant de recracher ma bite ruisselante de salive. Elle me termina à la main, en me regardant avec gentillesse.

— Tu aimes ça mon amour ? chuchota-t-elle.

En guise de réponse, je lui arrosai le visage, en m’efforçant de ne pas crier. Des jets de foutre épais s’écrasèrent sur son petit nez en trompette, sur ses mèches et ses lèvres. Et elle continua à me branler jusqu’à la dernière goutte, recueillant celle-ci sur le bout de la langue.

Puis elle s’essuya avec son tee-shirt, le retira. Elle ne portait qu’une brassière noire en dentelles, assortie avec son slip. Elle s’allongea sur le ventre, sur son lit, en faisant rouler ses belles fesses.

— A toi de me donner du plaisir ...

Je baissai son collant en le déchirant un peu, écartai ses fesses avec mes pouces, puis la ficelle de son string, que je tirai comme la corde d’un arc. Comme hypnotisé, je commençai à lui lécher l’anus, à l’instinct, en faisant coulisser dans sa chatte mon index et mon majeur, comme je l’avais vu faire dans ...

... tant de films. Soudain, elle se mit à quatre pattes. Son joli visage était tout congestionné, preuve que je devais m’y prendre à peu près correctement ... Quant à moi, je bandais à nouveau : formidables petites pilules ... Kathy me caressa les cheveux :

— J’ai envie de ton sexe. Alors viens, viens monter ta petite soeur mon bébé. Allez ...

Et elle se cambra, m’offrant son adorable petite croupe. J’eus toutes les peines du monde à la pénétrer, mais, alors que je commençai à paniquer, Kathy se retourna, pour m’adressa un sourire bienveillant :

— Ce n’est jamais facile la première fois, ne t’inquiète pas, je vais t’aider.

Et elle me branla à nouveau, avec une très grande douceur. Puis elle introduisit elle-même ma pine dans sa chatte. Mais comment savait-elle que j’étais vierge ? Je n’en avais jamais parlé à personne ... Cela se voyait sur ma tronche ou quoi ?

— Allez, pousse maintenant ...

D’un coup de reins vigoureux, je m’enfonçai en elle, en entier.

— Prends-moi par les hanches maintenant, et vas-y. Pas trop fort ... Oui ... Doucement ... C’est bien ... Oh, mais tu te débrouilles bien ...

Ses épaules et sa nuque rasée m’excitaient. J’y enfonçai parfois mes dents, quand je n’étais pas occupé à contempler, fasciné, son corps blafard et les petits crânes en métal argenté pendus à ses oreilles qui oscillaient au rythme de mes coups de pine.

— Maintenant passe tes bras autour de mon ventre et assieds-toi, sans te retirer ... Voilà ... Comme ça ... Et ne ...