1. Kathy, ma petite punk (1)


    Datte: 25/12/2018, Catégories: Hétéro Auteur: walter88, Source: Xstory

    ... bras d’une de ses meilleures amies, qu’elle était en train d’embrasser sur la bouche ... Quand elle m’aperçut, elle se jeta sur moi :
    
    — Sebbbb’, mon chéri, mon frangin ... s’écria-t-elle en me couvrant de baisers. Mais tu étais où ?
    
    — Heee c’est toi qui t’es barrée, je suis resté à droite de la scène moi, avec Franck et Lauren ...
    
    J’avais vraiment très envie de l’avoir pour moi tout seul, car quand elle était dans cet état les petits câlins s’éternisaient et je pouvais même me permettre d’avoir les mains baladeuses. Certes, ce n’était pas pour arranger mes problèmes d’érections intempestives, surtout quand je m’enhardissais au point de lui caresser le popotin, sous sa jupe, à travers ses collants ... Mais d’autres personnes nous proposèrent d’aller finir la nuit dans un appart’, ce que Kathy accepta ...
    
    Une heure plus tard, nous n’avions toujours pas décollé : trop de bières et de joints ... Vers trois heures du matin, Kathy décréta subitement qu’elle était " explosée " et qu’elle voulait rentrer.
    
    — Dans l’état où tu es ? Non, tu ferais mieux de dormir chez moi. Lui glissa un connard qui la serrait d’un peu trop près à mon goût ...
    
    Mais Kathy s’accrocha à un de mes bras :
    
    — Tu t’inquiètes pour moi ? Je te signale que ce soir j’ai un ange gardien ...
    
    Le type grimaça un sourire et hocha doucement la tête en me regardant d’un air méprisant.
    
    — Allez Seb’, on y va ? Je suis raide de chez raide. Ajouta Kathy.
    
    — OK princesse ...
    
    Nous en avions pour ...
    ... vingt bonnes minutes de marche. Mais au bout de quelques centaines de mètres, Kathy poussa un gémissement :
    
    — Oh Seb’, j’ai trop envie d’une pause ...
    
    Et elle me poussa sur un banc public et vint s’asseoir sur mes genoux.
    
    — J’ai besoin de souffler ... Et aussi d’un peu de tendresse ... murmura-t-elle en m’enlaçant et en m’embrassant sur les joues.
    
    Evidemment, je lui rendis ses baisers et ses papouilles, allant jusqu’à lui caresser les jambes du bout des doigts, à travers les mailles de ses collants. A un moment, elle prit ma tête entre ses mains, me regarda d’une drôle de façon et recommença à m’embrasser de plus belle.
    
    — Si tu savais à quel point tu comptes pour moi ...
    
    — Et toi pour moi. Lui répondis-je.
    
    Et c’était reparti pour un tour d’embrassades. J’avais, dans mon futal, et contre les cuisses de Kathy, un piquet de tente qui n’en finissait plus de pousser ... J’avais l’habitude de ce genre de manifestations, mais jusqu’à présent, jamais elles n’avaient duré aussi longtemps. Les pilules roses que nous avions gobées y étaient-elles pour quelque chose ? Comme c’était un cadeau, qu’on nous les avait mises dans la bouche d’autorité, nous ne nous étions pas inquiétés de leurs effets ...
    
    Elle finit par m’embrasser tendrement sur les lèvres.
    
    — Oh je t’aime Seb’ ...
    
    — Moi aussi Kathy. Lui avouais-je, terrassé par l’émotion.
    
    Et je l’embrassai à mon tour, sur la bouche et à plusieurs reprises, en lui caressant les cheveux d’une main, en glissant ...
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