Cruelles festivités
Datte: 24/12/2018,
Catégories:
fhh,
2couples,
oncletante,
forêt,
amour,
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nopéné,
échange,
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nonéro,
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policier,
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jeux,
Auteur: Collectif Antilogies, Source: Revebebe
... t’ai punie, sans lui mentir. Tu vas à présent te mettre à plat ventre et m’attendre, je reviens avec l’huile à l’arnica.
Elle est repartie retrouver son copain qui saura sûrement la consoler.
Vers treize heures Marie-Thérèse, sa maman, vient me rejoindre et nous partons déjeuner. Bien entendu je lui raconte tout ce que je sais et elle complète avec ce qu’elle a appris de son côté.
Marie-Thérèse est la maman de Valérie, veuve de mon frère tué en Afghanistan. Marithé en a été foudroyée de chagrin et, bien qu’amoureux transi, je ne me suis jamais permis de troubler son veuvage.
Après de nombreuses années au cours desquelles nous avons entretenu tous deux des relations affectueuses, sans plus, elle est tombée dans mes bras, par le truchement d’une aventure que j’ai déjà racontée.
Le lendemain lundi est le 31 décembre. J’appelle la pharmacie vers 10 heures et Suzanne me répond. Je l’informe de ce qui s’est passé chez moi la veille, en insistant sur la sévérité dont j’ai fait preuve. Je me crois malin d’ajouter :
— Si je peux me permettre, vous devriez demander à Valérie de vous montrer l’état de ses fesses vingt-quatre heures après, vous auriez alors la preuve que je ne vous ai pas menti.
— Monsieur, je ne doute pas une seconde de votre parole, mais les négociations ont déjà été menées entre nous deux. Elle est arrivée en avance de façon que nous ayons toutes deux quelques instants à nous. Je lui ai laissé le choix : le licenciement dans les règles, ou bien ...
... une fessée de ma part, et elle a préféré cette deuxième solution. Nous fermerons exceptionnellement à treize heures et réglerons nos comptes ensuite.
J’apprendrai plus tard ce qu’il est advenu. Nous devions fêter le réveillon, Marithé et moi, mais un coup de fil en fin d’après-midi m’informe qu’il y a changement ; elle ajoute que je peux la rejoindre quand je le souhaite, et de me munir de mon flacon d’huile à l’arnica. Elle me racontera tout :
Après la fermeture de l’officine, Suzanne a sorti de son sac un robuste martinet du temps jadis et lui a administré posément une trentaine de cinglades qui lui ont embrasé les fesses comme elle ne l’avait jamais connu. Marithé m’assure que le spectacle actuel du postérieur de sa fille est désolant. Elle précise que Valérie ne tolère présentement aucune visite, ni la mienne ni celle de son copain Adrien tant elle a honte, et d’ailleurs Marithé me remercie vivement d’avoir amené mon flacon miracle, dont elle s’empare en filant vers la chambre de sa fille.
Le premier janvier, nous nous sommes réunis, Adrien et moi, autour de la table de Marithé pour un repas de fête, auquel Valérie a assisté assise sur deux coussins douillets. La pauvre avait triste mine, sans maquillage, en peignoir. Au café, avec Adrien, elle s’est laissé cajoler sur le canapé mais sans pouvoir conserver bien longtemps une position et ils sont montés dans sa chambre. Adrien est redescendu une demi-heure après et tout le monde a compris qu’elle refusait de lui ...