Cruelles festivités
Datte: 24/12/2018,
Catégories:
fhh,
2couples,
oncletante,
forêt,
amour,
fsoumise,
nopéné,
échange,
fouetfesse,
nonéro,
nostalgie,
policier,
sf,
jeux,
Auteur: Collectif Antilogies, Source: Revebebe
... d’apprentissage, cela fait donc quatre ans qu’elles travaillent ensemble. C’est une petite femme brune très douce, d’environ cinquante ans, qui m’a donné jusqu’ici l’impression d’avoir pour Valérie une grande affection. Elles ont toujours paru très complices et je suis intrigué :
— Mais que s’est-il passé ? Que lui as-tu dit ?
— Tu sais, c’était en fin de journée, actuellement nous sommes débordées avec toutes ces grippes et ces gastro, j’ai perdu mon calme. Elle venait de discuter avec une cliente, une certaine Marine qui a une fillette de sept ans. Cette bonne femme est feignante comme une couleuvre, elle n’a qu’un RSA pour vivre et l’art de taper tout le monde, elle nous doit de l’argent et, une fois de plus, elle a réussi à embobiner Suzanne en allongeant l’ardoise.
— Et tu as mis ton grain de sel ? Tu n’as pas pu t’en empêcher ?
— Oui, si seulement j’avais fermé ma grande gueule…
Ses yeux sont soudain pleins d’eau.
— J’étais fatiguée, énervée, je l’ai traitée de tout.
— Mais encore, peux-tu te souvenir de tes paroles ?
— Je lui ai dit qu’elle est nulle, qu’elle a autant de jugeote qu’une limace, que si l’officine est en rouge à la banque il ne faut pas s’étonner, et puis…
— Et puis ?
— Oh là là, que j’ai honte…
— Allez, dis-moi toujours…
— Je suis sûre que c’est là que je lui ai fait le plus mal… Je lui ai dit qu’elle connaissait pas sa chance d’avoir un papa aussi riche ! Oh que je m’en veux d’avoir dit ça !
— Ah oui ! Là tu as fait fort ! Et ...
... comment a-t-elle réagi ?
— Ben rien… C’était l’heure de la fermeture, j’ai posé ma blouse, enfilé mon manteau, elle me regardait sans rien dire, l’air de ne pas pouvoir croire ce qu’elle venait d’entendre…
— Bien. Qu’attends-tu de moi, maintenant ?
— Deux choses. Premièrement que tu me punisses, parce que je l’ai vraiment mérité ce coup-ci. Ensuite, quand tu l’auras fait, est-ce que tu pourrais essayer de lui téléphoner pour plaider ma cause, lui dire à quel point je regrette et aussi quelle belle fessée tu m’as flanquée ?
Il faut préciser ici que Valérie a décidé, un beau jour, que je serais l’exécuteur des hautes œuvres. Pourtant sa maman n’a jamais négligé d’élever correctement sa diablesse de fille et lui a fait rougir son popotin chaque fois que nécessaire. Par quel mystère a-t-elle décidé que cette tâche m’incombait désormais, à sa majorité…
Je lui prends la main et l’entraîne vers le canapé.
— Sors tes chaussures, ton jean et ta culotte… Bien, tu peux garder ton string, ça ne changera rien. Viens t’allonger sur mes genoux.
Je claque son postérieur avec résolution une vingtaine de fois. Elle couine et proteste :
— Aïe ! Aïe ! Pas si fort, Tonton, tu me fais trop mal, là !
— Tu n’as pas compris, Valérie, c’est une vraie fessée, cette fois, et elle n’est pas finie…
Je termine avec dix grosses claques supplémentaires qui amènent les gros sanglots. Je la redresse et la prends dans mes bras pour la câliner :
— Maintenant, je peux dire à ta patronne que je ...