1. Féria


    Datte: 19/12/2018, Catégories: fh, ff, ffh, fplusag, fête, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hdanus, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... rester enfermé un jour pareil, je vous ramènerai puis j’irai dans quelque « bodégas », ce sont soit des genres de cafés ou bien de clubs privés. Pour ce soir, j’ai ma voiture garée chez un ami, pas très loin de la gare.
    
    Le sourire est revenu sur les lèvres de la passagère. Parfois la jambe de Patrice frôle celle de sa voisine sans que celle-ci la retire pour autant. Le contact est très agréable même s’il n’y a là rien de bien sensuel.
    
    Le train entre en gare ; les quais sont noirs de monde, plus de fêtards que de véritables voyageurs. La féria déborde, envahit tout. Le bruit est infernal, cris couvrant la musique des pénas. Patrice prend les deux valises, la sienne et celle de son invitée malgré ses protestations. Il la laisse derrière la gare, à un endroit prévu pour la prise ou dépose de passagers.
    
    — Attendez-moi là avec les valises, je vais chercher la voiture et viens vous prendre. Je risque d’en avoir pour dix minutes au moins.
    
    Un quart d’heure après elle voit s’arrêter une Clio. Embarquement, sortie de la ville avec beaucoup de difficultés, le code de la route n’existe plus, la rue appartient aux fêtards. Enfin la route, circulation dense, mais correcte. Traversée du village avec la même ambiance. Bientôt, arrivée devant un grand bâtiment carré, sans ouverture si ce n’est un grand portail. Patrice descend, ouvre les battants et entre avec la voiture dans une grande cour carrée.
    
    — Mais c’est immense ! On pourrait loger un régiment ! s’exclame la ...
    ... passagère.
    — Oh, tout n’est pas habitable, un côté seulement. Mes grands-parents étaient paysans, ils vivaient en autarcie. Les terres ont presque toutes été vendues. Reste le mas. Mais venez, je vais vous montrer votre chambre, vous pourrez vous rafraîchir.
    
    L’invitée est surprise par le silence, la fraîcheur de la maison. Patrice la guide vers l’escalier, monte sa valise à l’étage, ouvre une porte et la dépose.
    
    — La salle de bains est juste à côté. Ma chambre est au fond du couloir, appelez si vous avez besoin de quelque chose.
    — Merci pour tout.
    
    Un long moment après, Patrice voit descendre une très belle femme, fraîche, souriante, détendue.
    
    — Vous êtes magnifique.
    — Flatteur, je pourrai presque être votre mère.
    — Ma maman est très jolie, et je l’adore, mais on ne peut vous comparer. Que voulez-vous boire ?
    — Pas d’alcool, par cette chaleur.
    — Un Perrier alors. Mais il nous faut songer à manger. Je vous propose de vous montrer la féria et nous irons manger dans une « bodéga » la paella. Et puis nous rentrerons tranquillement nous coucher.
    
    L’entrée en ville a été aussi mouvementée que l’avait été leur départ. Patrice gare sa voiture dans la cour de son ami. Et c’est à pied, accompagnés de la musique des pénas, dans le tumulte qu’ils parviennent au cœur de la ville. Puis, dans une petite rue du centre, il frappe à une porte cochère, elle s’entrouvre puis s’ouvre franchement
    
    — Oh Patrice, tu es enfin là, on ne t’attendait plus. Bonjour Madame, entrez.
    
    Ils ...
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