1. Féria


    Datte: 19/12/2018, Catégories: fh, ff, ffh, fplusag, fête, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hdanus, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... entame de la langue une caresse entre les fesses. Puis elle aussi plante son doigt au plus profond du cul. Et c’est l’explosion chez les deux amants. Patrice se retrouve au milieu du lit, les bras en croix, une tête sur chaque épaule. À tour de rôle, elles viennent butiner sur son visage. Leurs lèvres se rencontrent parfois.
    
    — Je savais que vous vous entendriez bien, j’en étais sûre dit Audrey. C’est tellement bon de pouvoir partager avec sa meilleure amie. Allez avouez, ce n’était pas merveilleux ?
    — Oh si, formidable, jamais ce n’avait été aussi bon, répond Patrice, se souvenant des fois précédentes et déclenchant un sourire ironique et goguenard chez Corinne.
    
    Ils se sont douchés et couchés, chaque couple dans un lit, André n’est pas obligé de tout connaître à son réveil.
    
    Vers midi, les deux amoureux se lèvent doucement et rentrent chez eux au mas. Plusieurs voitures sont garées :
    
    — Tiens, papa et maman sont arrivés, depuis que je ne les avais pas vus ensemble, viens, je vais te présenter.
    
    Il suit Audrey et entre dans la grande salle assez sombre. Tout le monde est réuni.
    
    — Papa, maman, voici Patrice dont je vous ai tant parlé.
    — Patrice, mon père, Hervé, professeur, comme tes parents, ma mère, Françoise, commerciale comme toi, qui vit à Paris.
    
    Le père s’avance souriant, tend une main franche au jeune homme et dit :
    
    — Enchanté de faire ta connaissance, depuis qu’Audrey me saoule de toi. Mais je dois reconnaître qu’elle ne m’a pas menti et surtout qu’elle a bon goût.
    
    Un frisson glacé saisit Patrice lorsqu’il voit s’approcher la mère. C’est la femme du TGV avec qui il a fait l’amour. Elle s’avance :
    
    — Je suis la maman d’Audrey. Nous nous voyons pour la première fois, et je suis enchanté de faire votre connaissance.
    — Allons maman, vous n’allez pas vous vouvoyer et embrassez-vous.
    
    Dans les bras l’un de l’autre, Patrice retrouve la douceur de la peau, le parfum, toute la femme avec qui il a si bien fait l’amour.
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