1. Féria


    Datte: 19/12/2018, Catégories: fh, ff, ffh, fplusag, fête, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hdanus, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... arrivent dans une cour intérieure carrée. Au fond, sur une estrade des musiciens espagnols donnent l’aubade. Des tables occupent le reste de l’espace. Ils vont vers le bar et ce sont des exclamations sans fin. Sa compagne comprend qu’il est connu et estimé ici. Pendant la féria, on ne sert que deux boissons : le pastis, ou la sangria. C’est une préparation à base de vin parfumé avec du jus d’orange. Elle est servie très fraîche et glisse dans le gosier. Ils vont manger une paella délicieuse arrosée toujours de la même boisson. À la fin du repas, des amis les interpellent :
    
    — Vous venez, on va au spectacle de danses gitanes.
    — Non, il nous faut rentrer, demain soir peut-être.
    
    Elle est toute heureuse, se sent si bien, si détendue, si ce n’était une sensation de vertige lorsqu’elle se lève.
    
    — Mon Dieu, qu’est-ce qu’il m’arrive, je ne tiens plus debout.
    — Oh en ville, on ne risque pas de tomber, il y a suffisamment de monde pour vous soutenir, lui fait remarquer un ami.
    
    En effet, passé la porte, bien qu’il soit près de minuit, la ville est animée comme en plein jour. Le bruit est infernal. Afin de ne pas se perdre, elle saisit Patrice à la taille ; il fait de même et c’est enlacés, se soutenant l’un l’autre qu’ils regagnent la voiture.
    
    — Pourvu qu’il n’y ait pas de contrôle alcotest, fait-elle remarquer.
    — Aujourd’hui, la police est trop occupée à ramasser les ivrognes afin qu’ils ne se fassent pas écraser.
    
    Ils rejoignent le mas. Mais quand la voiture est ...
    ... arrêtée, la passagère ne peut s’extraire de son siège.
    
    — Mon Dieu, qu’est-ce qu’il m’arrive…
    — Vous vous répétez, je crois. Ce n’est que la sangria, demain il n’y paraîtra plus. Attendez, je vais vous aider.
    
    Il l’extrait, elle titube. Pour plus de facilité, il la prend dans ses bras. Elle noue les siens autour de son cou et ses lèvres viennent frôler les joues râpeuses du garçon. Ce contact lui plaît beaucoup, surtout quand elle resserre son étreinte. Arrivé en haut, il tourne la tête pour chercher la poignée de la porte, les lèvres se trouvent en contact. Frottement, puis c’est la langue féminine qui prend l’initiative. Avec le genou, Patrice pousse la porte et dépose son fardeau sur le lit. Les bras ne se sont pas desserrés et il se trouve allongé sur de merveilleux coussins bien rembourrés. Du bout des bras, il remonte les jambes sur le lit et dans le mouvement de retour, la main retrousse la robe. Les langues continuent à se taquiner, se provoquer. D’une main, il caresse les cheveux, de l’autre il entreprend de déboutonner le vêtement. Les jambes s’entrouvrent pour lui faciliter le travail et écarter le tissu. Bientôt sa main atteint la soie déjà humide de la culotte. Il s’attarde un instant et continue de défaire la robe.
    
    Il desserre l’étreinte des bras féminins et se redresse. Les seins semblent vouloir s’échapper du soutien-gorge d’une taille pourtant assez importante. Les doigts caressent les mamelons et les dégagent de leur prison. Deux bourgeons bruns ...
«1...345...13»