Féria
Datte: 19/12/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fplusag,
fête,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
hdanus,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... tiens. Je ne dirai rien, mais vous de votre côté que personne ne sache rien sinon…
— Merci Mademoiselle.
Elle retourne dans sa chambre. Pourtant, cette soirée l’a marquée et elle a beaucoup de difficultés à trouver le sommeil. Elle ne comprend pas sa réaction, l’acceptation des contraintes. Le matin, elle a les traits tirés, ce que remarque le surveillant général.
— Vous avez mal dormi, lui demande-t-il ?
— Oh quelques problèmes chez les garçons, mais j’ai réglé le tout.
— De quoi s’agit-il, signalez-moi ça, je vais prendre des mesures.
— Soyez tranquille, j’ai déjà fait le nécessaire.
Audrey a voulu qu’en cas de problème, son supérieur se souvienne qu’elle lui avait signalé des incidents. Mais en dehors du fait par lui-même, c’est sa passivité lors de la scène dont elle a été victime qui l’inquiète. Elle a pris du plaisir à regarder, était prête à participer et c’est le choc du viol qui l’a fait réagir. Elle s’aperçoit même que c’est seulement la peur du scandale, car elle commençait inconsciemment à apprécier les attouchements. Il ne faut absolument pas que Patrice apprenne cela, ni surtout qu’il voit les marques sur ses seins, elle ne saurait comment les justifier. Et surtout, elle qui n’aurait pas toléré une infidélité de sa part, elle s’aperçoit qu’elle était prête à céder à la première tentation.
Les deux jeunes sont accueillis avec beaucoup de joie par les grands-parents. André et Corinne les ont appelés pour leur demander de sortir avec eux ce soir. ...
... Ils décident d’aller les voir pour en discuter, ce qui leur évitera un tête à tête qu’aucun ne désire. Les jeunes mariés sont heureux de les retrouver. Ce sont de grandes embrassades, un peu appuyées entre Patrice et Corinne.
— Ce soir Corinne est libre, c’est suffisamment rare, il faut en profiter, leur dit André. Nous irons faire la fête.
— Oui, mais à une condition reprend sa femme, nous ne prenons qu’une voiture et c’est une de nous deux qui conduit au retour. Je vous connais, vous allez rentrer bourrés à mort.
— Oui, reprend Audrey, je n’ai pas envie de me tuer.
— Bon, eh bien nous pourrons nous en donner à cœur joie puisque nous avons des chauffeurs sobres.
Et ainsi ils partent en ville. Cette nuit est la plus importante de la Féria. Les rues sont noires de monde, on chante, on danse et surtout on boit. Ils restent tous les quatre ensemble, serrés. C’est l’entrée dans la foule. Beaucoup de connaissances, les hommes acceptent de trinquer avec les copains qu’ils rencontrent, et ils sont nombreux. Certes, Patrice plus sobre, fait attention, mais il se sent tout de même éméché. Les filles ont refusé tout alcool, se contentant de Perrier ou Coca, indispensables par cette nuit chaude. Elles ont suffisamment de travail à suivre leurs mâles, puis bientôt à les guider et les soutenir. Au bout de quelques heures, elles sonnent la retraite malgré les protestations bafouillantes des hommes. Corinne qui connaît bien les routes, prend le volant. Ils arrivent sans encombre au ...