Féria
Datte: 19/12/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fplusag,
fête,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
hdanus,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... mas d’André. Il faut alors extirper ce dernier de l’arrière. C’est un balès qui doit approcher les quatre-vingt-dix kilos. Patrice tente d’aider les filles, mais il a beaucoup de peine à tenir lui-même debout. Poussant, tirant, ils parviennent tout de même à amener l’ivrogne jusqu’à la chambre. Les femmes entreprennent de le déshabiller, Patrice préférant s’allonger un instant à côté de lui.
— Je crois qu’il serait plus prudent que vous restiez tous les deux ici pour cette nuit. Seule, tu ne pourras pas t’occuper de Patrice. Et puis s’ils ne sont pas bien, nous serons deux.
— Oui, tu as raison, et je crois que nous allons les laisser ensemble dans ce lit. Nous dormirons toutes les deux.
— Je vais chercher de l’aspirine, déshabille ton homme.
Audrey n’a aucune difficulté pour cette tâche, bien qu’enivré, Patrice a suivi la conversation. Il se redresse pour faciliter la tâche, se retrouve rapidement tout nu. À cet instant arrive Corinne avec deux verres d’analgésique. La nudité de cet homme ne la surprend pas, elle le connaît. Audrey ne dit mot. Patrice avale tout seul son médicament, mais c’est autrement plus difficile pour André. Après avoir bu, il s’accroche à sa femme et lui demande un câlin.
— C’est la fête, tu ne vas pas me laisser comme ça !
— Tais-toi cochon ! devant tes amis.
— Oh Patrice dira rien, on en a fait des coups ensemble, on se connaît bien.
Profitant de l’ambiance, ce dernier saisit Audrey à la taille et l’attire vers lui. Elle proteste, ...
... lève la tête et voit Corinne dans la même situation. Elles se sourient et laissent faire leurs mâles. La robe est malmenée et sur le point de se déchirer sous les assauts d’André. Sa femme préfère se dépouiller elle-même pour éviter tout dommage. Audrey est amenée à quitter sa robe, mais garde son soutien-gorge, ne voulant pas montrer ses seins meurtris.
— Embrasse-moi mon amour, bafouille l’ivrogne, et il prend la tête de son épouse, lui imposant un baiser qu’elle accepte bientôt.
La présence de son ex-amant l’excite. Elle veut lui montrer qu’elle n’est plus à lui. Il entre dans le jeu et agit de même. Bientôt les femmes se retrouvent allongées sur leurs hommes.
— Tu es mon meilleur ami, et ta femme est formidable, Corinne, embrasse les tous les deux.
— Tu es fou, tu as trop bu.
— Pourquoi, ils te dégoûtent ? Tu ne les aimes pas ?
— Mais si, je les aime bien tous les deux.
— Alors, embrasse-les, comme il faut.
Elle obéit, se tourne vers Audrey. Cette dernière, surprise, ne sait comment réagir. Elle approche les lèvres, elle a envie de goûter à ce fruit défendu. Patrice charmé par ce spectacle, sent son désir monter, ce que sent également Audrey. Pour elle c’est une autorisation. Elle prend la tête de sa partenaire et force sa bouche. Cette dernière accepte, défi à son mari, excitation pour Patrice, découverte de plaisirs nouveaux. Le sexe de ce dernier est tendu au maximum entre les cuisses féminines.
— Si tu savais comme il bande, dit Audrey, c’est pas ...