L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (9) - Histoires de Sexe

L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (9)

... maîtresse de votre femme, Sarah Sikorsky, est liée à un trafic, dont je ne peux vous révéler la teneur. Comme votre femme est sa maîtresse depuis plus d’un an, elle est aussi sous surveillance constante. D’où la vidéo !

— Mais ça fait longtemps qu’elle...

— Qu’elle vous trompe ! Oui... et pas qu’avec Sarah !! Un dernier détail... si votre fils est parti sans laisser d’adresse, c’est qu’il avait été le jouet sexuel des deux femmes, ainsi que leur martyr...

Le sujet du best-seller de Sarah est justement l’expérience qu’il a vécue avec les deux femmes.

— Attendez... Sarah Sikorsky ?! LA Sarah Sikorsky ?

— Elle même !

— Mon Dieu, mais la presse, les médias, la honte pour le lycée... Il ne me reste que le suicide, me dit-il, en désignant le Glock.

— Non ! Vous retournez à votre bureau, je vous enverrai l’adresse d’un excellent avocat, très discret. Demain, votre femme aura quitté le domicile, sans laisser d’adresse. Faites comme si de rien n’était. Elle ne vous importunera plus. Vous enverrez votre avocat entrer en contact avec le sien, et tout se réglera de façon discrète sans scandale ! Je dois partir... désolé pour tout ça ! “

Le soir, Mickaël rentra plus tard que d’habitude, sa femme dormait déjà, ou plutôt faisait semblant de dormir. Elle avait reçu un mail lui indiquant que si elle ne quittait pas le domicile conjugal tout de suite, elle serait arrêtée par la police sous les 24 heures, pour maltraitance, séquestration en réunion, non-respect de ...

... la vie privée, exploitation sexuelle... de quoi lui faire passer 5 ans derrière les barreaux, sans compter la honte de son mari, son entourage, la famille, toute la ville ...

Le lendemain, Rebecca faisait ses valises, et prenait son cabriolet pour se perdre dans l’arrière-pays, à la recherche d’un hôtel discret, avant de rejoindre sa maîtresse, dans sa luxueuse villa. La nuit, je m’introduisis dans sa chambre, sans cagoule sur la tête. Elle se réveilla en sursaut :

— Mon Dieu, mais c’est toi mon fils ! Que tu es devenu beau !

— Ne perds pas ton temps en “salamalecs” ! C’est moi qui t’ai foutue dans cette merde. Tu n’as plus rien, ni personne pour t’aider, ou d’endroit où aller, à part moi !

— Mais comment as-tu pu ? C’était toi le mail ?

— Oui, et j’ai mis papa au courant, dans trois jours, tu devrais recevoir, ou plutôt ton avocat, une notification de divorce !

— Pourriture ! Mais pourquoi as-tu fait ça ?

— Pourquoi ? Et le mois de tortures physiques et mentales que tu m’as fait subir ? Ta salope de copine s’est servie de moi comme un cobaye, pour s’en foutre plein les poches ! Ah, au fait, pas besoin d’aller la rejoindre. Tu avais réussi à la raisonner cet après-midi. Très beau spectacle, papa a adoré !

— Tu... tu étais là ?

— Oh oui et j’ai tout filmé, pareil avec les beaux gosses ! Bref, je lui ai dit que tu étais liguée avec moi contre elle, et qu’on lui réclamait 2 millions d’euros, sinon après le massacre médiatique, ce serait le massacre ...