L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (9)
Datte: 16/12/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
Note de l’auteur :
Les connaisseurs auront reconnu une phrase détournée d’un Grand Homme du XX° siècle, qu’ils me pardonnent... et Puisse-t-Il me pardonner !
Après la séance dans le cabinet d’Évelyne, enfin plutôt “Maîtresse Évelyne”, de son vrai nom Sarah Sikorsky, la psychanalyste qui devait “me guérir”, et qui était en réalité l’amante de Rebecca, ma mère, je devins le jouet de ces deux femmes. D’abord lors des séances au cabinet de ladite doctoresse, puis ensuite à mon propre domicile. Car mon père s’était absenté pour une durée de formation d’un mois, hors région... les deux femmes profitèrent de l’aubaine !
J’étais devenu le jouet sexuel... enfin non, plutôt SM, de ces deux harpies : ma mère et sa nouvelle compagne. Durant les deux premières semaines de l’absence de mon père, Évelyne s’était installée chez nous, et elle baisait ma mère comme une forcenée, du matin au soir. Moi, j’avais droit à pas grand-chose... hormis des humiliations, des gifles, parfois des coups de martinet... déjà, les entendre gémir et crier de plaisir lors de leurs unions saphiques était une véritable torture, mais en plus, je ne pouvais me soulager : le docteur m’avait placé une cage sur le sexe, et en plus, j’avais les deux mains attachées aux pieds de mon lit. Alors comme crucifié par mon désir sexuel, je souffrais mille tourments ; durant leurs parties mémorables, le sommeil se faisait souvent attendre !
Parfois, avant de rejoindre sa compagne, ma mère venait s’exhiber devant moi, ...
... déliant sa robe de chambre en soie qui tombait à ses pieds, et se trémoussant comme une "pute" dans une maison close, elle se caressait les seins, la chatte, à moitié nue, ou en nuisette très légère, parfois habillée d’une simple guêpière, souvent baissée au ras de ses seins, sans bas ni string. Il lui arrivait de s’installer sur le montant en boule du lit, et de se faire pénétrer par l’objet, avec force gémissements de plaisir.
Parfois c’était pire : l’une des deux venait me chercher dans ma chambre, où je restais tout le temps enfermé, et me passant une chaîne dans le collier de fer, que je portais au cou, tel un bagnard, me dirigeait vers leur chambre.
Là, de nouveau attaché à un crochet au mur, j’avais l’intense désespoir de suivre leurs ébats en direct...
Cela commençait par un effeuillage langoureux des deux salopes, jusqu’à l’apparition de leur nudité. Alors, en porte-jarretelles et bas, souvent blancs pour ma mère, et noirs pour l’autre traînée, les hostilités démarraient, sous mes yeux ahuris.
Les deux femmes debout s’étreignaient, se caressaient partout, en s’embrassant avidement. Puis le docteur ayant jeté ma mère sur le lit, venait sur elle à califourchon, au niveau de son visage et présentait une vulve déjà bien luisante de cyprine, au-dessus de la bouche de ma génitrice. S’ensuivait un gamahuchage en règle, qui tirait des cris de plaisir à sa compagne. Alors ma mère se plaçait sur les genoux, en face de l’autre, et avec des doigts très inquisiteurs, ...