L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (9) - Histoires de Sexe

L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (9)

... découvrir ma génitrice, avec simplement un porte-jarretelles noir et gris de marque Aubade, sur la paire de bas. Ma mère, nue, avait les seins tendus à l’extrême, et son pubis était plus lisse que le crâne de Bruce Willis ! Elle se débarrassa du manteau qui chuta sur le sol, et s’avança résolument sur Jonathan, lui mettant la main au paquet !

Alors je vis ma chère mère, se livrer à une orgie dégénérée, avec 4 jeunes hommes très sportifs et endurants ! Dans un esprit de stupre fantastique elle fut baisée, partouzée, léchée, caressée, enculée, par les 4 jeunes, en même temps, parfois avec deux hommes, ou chacun leur tour.

Après une heure de positions plus ou moins acrobatiques, ayant crevé les quatre types, ma génitrice rentra à bord de sa voiture, dans son manteau de fourrure, un grand sourire aux lèvres ! Elle avait pris sa revanche sur la vie... et moi j’allais pouvoir prendre la mienne !

Celle-ci s’opéra en plusieurs étapes ! Tout d’abord, j’envoyai un exemplaire des clichés que j’avais pris du fameux journal de ma mère, ainsi qu’un exemplaire de “ Essai sur les comportements sexuels extrêmes des jeunes hommes”, de la célèbre docteur Sarah Sikorsky, à sa maison d’édition, en ayant bien pris le soin de souligner dans son livre, les passages qui avaient été étayés par le journal intime de ma mère, sans son consentement.

Plusieurs copies furent envoyées à l’Ordre des psychiatres, et à deux revues de littérature qui faisaient la pluie et le beau temps sur le ...

... domaine de la parution scientifique. L’effet fut immédiat ! Une campagne de presse dévastatrice prit pour cible “la pauvre Sarah”, qui de chouchou des médias, passant sur beaucoup de plateaux d’émissions médicales ou autres, devint la méchante psy, qui plagie le journal intime de sa maîtresse, tout en profitant de la détresse psychologique du fils de celle-ci, pour faire son étude !

Sarah se terra d’abord dans sa maison de campagne fort chic, qu’elle s’était achetée avec son nouvel argent, puis décida de rendre une petite visite à son amante ! Bien sûr, je savais tout ce qui se passait, durant cette fameuse semaine de gros bordel, depuis mes différents postes d’observation...

Lorsque je vis arriver Sarah, ou Maîtresse Évelyne, en superbe robe moulante en cuir noir, avec un sac assez rempli, l’air furibond, je me dis que l’après-midi allait être mouvementée pour la pauvre Rebecca ! Comme j’avais fixé une petite caméra très discrète sur une branche d’arbre, qui donnait sur la chambre de mes parents, je vis tout ce qui s’y déroulait !

Alors je pris mon portable et appelai mon père à son bureau. En déguisant ma voix, je lui dis qu’il s’en “passait de belles” à son domicile, en lui envoyant la vidéo des exploits de sa femme, pris avec les beaux gosses, par mail. Il dut la visionner 5 ou 6 minutes, car il arriva, lui aussi, d’une démarche rapide, l’air furieux vers les locaux d’habitation du personnel dirigeant du collège.

Alors le suivant à pas de loups dans l’escalier, je ...