L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (9)
Datte: 16/12/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... mis une cagoule sur ma tête, et sortant un Glock 17, je le lui pointai sur la tempe, en faisant le signe de faire silence. Déguisant ma voix, je lui enjoignis d’ouvrir la porte avec le “passe” que j’avais apporté. Et lui remettant une grosse enveloppe dans la poche, je lui expliquai qu’il devait être silencieux, observer ce que sa femme était devenue, et qu’il comprendrait plus facilement en regardant les documents de l’enveloppe plus tard...
Ayant pénétré dans l’appartement, nous entendîmes des cris, des gémissements, des insultes et des claquements divers. Nous rapprochant de la chambre, très discrètement, nous regardâmes ce qu’il s’y passait. Le spectacle était dantesque !
Maîtresse Évelyne, une guêpière en cuir noir sous la poitrine, des bas résille sur les jambes, la chatte bien rasée à l’air, était en train de fouetter copieusement une femme nue, aux seins, ventre, cuisses et sexe lacéré de zébrures rouges, attachée sur le lit, bras et jambes bien écartés.
— Tu m’as trahi salope ! Pourquoi avoir envoyé ton journal à mon éditeur et à la presse, petite pute, tu vas payer, tu m’as presque ruinée ! Tiens pétasse, prends ça ! “
Un grand coup de cravache sur la vulve exposée, et un grand cri de douleur de la femme attachée, qui n’était autre que Rebecca, femme de mon proviseur de père, et accessoirement ma mère !
Après s’être acharnée sur le pubis et la vulve, elle passa aux seins copieusement frappés du plat de la cravache. Puis elle lui plaça des pinces sur ...
... les seins, et tout en tirant sur celles-ci, vint placer son sexe au-dessus de la bouche de Rebecca. Elle se fit copieusement lécher la chatte, puis vida sa vessie dans la bouche ouverte. Rebecca ne regimba pas, et avala l’urine de sa maîtresse.
Alors celle-ci prit un massif gode ceinture, qu’elle s’attacha autour des hanches, et commença à baiser ma mère, qui après tous ces outrages, explosa en cris et râles de jouissance :
— Alors tu aimes ça salope, ça t’avait manqué, hein ?! Ce n’est pas ton connard de mari qui pourrait te faire jouir comme ça... hein, sale truie !
— Oui Maîtresse Évelyne, je vous aime ! “
Mickaël, mon père, abasourdi et écœuré par la scène dont il avait été le témoin, se retourna vers moi et ignorant le pistolet dirigé vers lui, s’en alla silencieusement dans la cuisine.
Là, il se versa une bonne rasade de whisky et la but cul sec :
— Mon Dieu, mais ce n’est pas possible ! Ma femme Rebecca qui se livre à ces... ces atrocités... avec une femme ! Et cette vidéo abjecte d’orgie à la campagne ? C’est vous qui me l’avez envoyée ? Comment l’avez-vous eue ? “
Mon père était anéanti, mais il fallait que je trouve une réponse crédible à ses questions, je n’avais pas imaginé que la situation tourne comme cela. Il était tellement abasourdi que le Glock ne lui faisait plus aucun effet. J’avais même l’impression qu’il s’en serait tiré une balle, rien que pour éliminer la souffrance de ce qu’il vivait...
— Je travaille pour le gouvernement. La ...