1. L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (9)


    Datte: 16/12/2018, Catégories: Trash, Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... elles se bricolaient leurs chattes avides... doigtage mutuel qui se terminait par deux orgasmes, et des jets de cyprine. Par l’alchimie de leurs caresses expertes, les deux s’étaient découvert "femme fontaine", phénomène déplorable pour l’état des draps...
    
    Tout durait ainsi un bon moment, tant les deux salopes étaient insatiables ! Alors je pus parfaire ma connaissance des mœurs féminines homosexuelles. Tout y passait : doigtages, godages en règle, utilisation de Double-dong, ce long gode à deux extrémités qui les faisaient se pénétrer mutuellement, leurs chattes reliées par l’engin de silicone noir. Elles adoraient son utilisation, et les commentaires grivois, " c’est trop bon, tu aimes ça petite pute, tu mouilles comme une salope en rut, tu vas voir ce que je vais te rentrer dans le cul et la chatte !" étaient légion.
    
    Bien sûr, les séances de vibromasseur n’étaient jamais oubliées, l’une sur le dos, cuisses ouvertes en grand angle (de mon côté, pour que je n’en perde pas une miette !) avec une vue délirante sur des muqueuses rouge-vif entrebâillées et dégoulinantes de jus, et l’autre assise à côté, maniant avec dextérité les commandes de l’engin ! A chaque fois qu’il y avait changement impromptu de vitesse ou de cadence, " la suppliciée " exhalait des râles de plaisir.
    
    Avec ma pauvre expérience sexuelle, je n’avais jamais songé qu’une femme put jouir autant de fois, sur un aussi petit laps de temps... pauvres hommes que nous sommes !
    
    Après ces préliminaires de ...
    ... longue durée, les deux se baisaient tour à tour comme un mec, ayant ajusté sur leur taille le fameux gode-ceinture.
    
    Les deux garces n’étaient pas non plus contre une bonne séance de sodomie, mais dans ce cas de figure, c’était toujours Sarah qui enculait joyeusement et profondément ma mère. Celle-ci, le visage tourné vers moi, semblait prendre encore plus de plaisir à ma déchéance. Attaché, le sexe emprisonné, je ne pouvais que mater. Elle savait que je brûlais d’être à la place de l’autre dans son cul ! Mais je ne pouvais même pas me branler... quel supplice !
    
    Alors le final arrivait en un jeu sauvage de "ciseaux", qui là aussi, leur donnait beaucoup de plaisir et les laissait en nage.
    
    Alors, apothéose du vice, les deux femmes venaient vers moi, et disposaient leur bassin et leur sexe au niveau de mon visage. Moi, à genoux, lié au mur comme un animal, je me devais de lécher leurs sexes luisants et coulants... ce que je faisais avec délectation. Les phéromones de leurs chattes humides me provoquaient un effet aphrodisiaque imparable, et je me retrouvais avec des érections démentielles, qui blessaient mon pauvre sexe emprisonné dans sa cage ; c’était une torture.
    
    Alors, elles me finissaient en me pissant dessus. J’avais perdu toute dignité !
    
    Je crevais de frustration sexuelle... les deux femmes se foutaient bien de moi, en m’allumant continuellement, en m’humiliant, en me rabaissant. Ainsi était la vengeance que ma mère avait concoctée.
    
    Pourtant un jour, j’en ...
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