L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (9) - Histoires de Sexe

L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (9)

... laquelle ! Et quel fric ! Elle était devenue millionnaire en se servant de moi, et en copiant certaines informations du journal intime de ma mère, sans que celle-ci n’en sache rien !

Allant dans la garde-robe, désormais occupée par toutes les tenues sexy de ma salope de mère et sa lingerie... je retrouvai le petit compartiment secret... le fameux journal y était !

Ce que j’y lus me fit froid dans le dos... chaque heure de mon calvaire avait été décrite de façon détaillée dans le journal de ma génitrice... sans aucun remords ! Celle-là aussi j’allais m’en faire une vengeance croustillante. Là aussi, le moyen était tout trouvé. D’autant plus que le dernier passage du journal était fort intéressant !

Chap 23 : retour vers les beaux gosses !

— Cher journal, après ma transformation physique, j’estime que mon pouvoir de séduction est suffisamment important pour aller de nouveau tenter ma chance auprès des “beaux gosses” !

Sarah, enfin je devrais plutôt dire Maîtresse Évelyne, m’a vraiment bien aidé à reprendre le cours de ma vie de femme, et à m’affirmer ! Dommage que mon idiot de fils se soit enfui... on commençait à bien s’amuser avec lui ! Je commençais à lui faire payer le rejet, fatidique pour lui, dont j’avais été l’objet ! Petit connard !

Quoi qu’il en soit, j’ai pris rendez-vous avec Jonathan... une photo de moi dans le plus simple appareil l’a fortement motivé à m’accorder l’après-midi de mardi prochain, avec ses trois copains, à partir de 18h00, ...

... toujours au même endroit !

A bientôt pour la suite de mes exploits, cher journal !“

Ah ah ! Moi aussi j’allais y être ! Avec une “bonne Gopro !” Enfin en mieux !

En planque, parmi des fourrés, avec le soleil dans le dos... comme ça pas de reflet visible de mes optiques, une bonne lunette très grossissante, un système high-tech pour pouvoir filmer les images à 80 mètres de là, avec une très bonne définition et une bonne netteté... j’attendais l’arrivée de la salope ! Les 4 types, eux, étaient en train de faire leurs exercices de muscu habituels. Et puis au loin, une voiture se gara sur le parking et en descendit une femme en manteau de fourrure... ce n’était pas la canicule, mais quand même... une fourrure au mois d’avril... on suspectait que ce n’était pas pour le froid, que ma salope de mère en portait un !

Superbement maquillée, juchée sur ses escarpins haut talon, les jambes gainées de soie noire, ma mère était tout à fait divine... je suspectais que les 4 types allaient se jeter sur elle !

Jonathan fut le premier à aller vers elle, et à lui parler :

— Bravo Rebecca, je vois que tu as suivi mes conseils, tu es resplendissante, plus rien à voir avec la petite bonne femme très peu sûre d’elle de l’année dernière ! Tu n’as pas oublié le petit coup de rasoir bien placé ?

— Tu veux voir beau brun, lui dit-elle, un sourire enjôleur aux lèvres.”

Tandis que les autres s’étaient rapprochés, Jonathan, déboutonna puis écarta les pans du manteau de fourrure, pour ...