Une pénible affaire
Datte: 13/12/2018,
Catégories:
fh,
policier,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... est déjà occupé. Enfouie sous les couvertures, sur le bord de la couche, seuls ses cheveux dépassent. Elle reste immobile, simule le sommeil. Robin, lui aussi tout nu, s’allonge à l’autre bord du lit.
Le sommeil est long à venir. Il entend sa compagne respirer d’une manière irrégulière, elle aussi éveillée. Puis, après un long temps, le rythme devient régulier ; elle s’est endormie. Rassuré, il ne tarde pas à l’imiter.
Même le samedi, on ne perd pas les réflexes : Robin se réveille à l’heure habituelle. Dans son dos, il sent le corps d’Ariane plaqué contre lui. Elle dort. Ne voulant pas la déranger, il reste immobile.
Pourtant, après une heure dans cette position, il ressent l’envie de pisser. Très doucement, il se glisse hors du lit. Elle n’a pas remué.
Il profite du fait qu’il est levé pour préparer deux tasses de café ; il n’y aura qu’à mettre en marche. Silencieusement, il regagne sa place. Rien n’a bougé. Il s’allonge sans la toucher afin de la laisser dormir. Mais le corps vient à nouveau contre lui, tiède. Puis une main vient caresser ses pectoraux lentement.
« C’est elle qui prend l’initiative ; laissons-la opérer. »
La main, peu à peu, a glissé vers le bas jusqu’au sexe encore au repos. Une hésitation. Elle ne doit plus reconnaître le mât triomphant d’hier au soir. Elle le caresse doucement comme un petit animal. Mais ce dernier se réveille et bientôt devient un véritable fauve.
Lui, sourit. Elle est surprise : elle n’a jamais eu l’occasion de ...
... voir ce phénomène.
— Tu n’es qu’un salaud : tu m’as violée, hier !
— Nuance : c’est toi qui t’es violée ; tu as des réactions trop brutales. Quand on ne sait pas se servir d’un outil, on ne le touche pas. Mais je vois que ça ne t’a pas servi de leçon !
Se redressant, elle le met sur le dos en appuyant sur ses épaules. Elle se met à cheval sur lui, dressée, simulant la colère.
— Salaud, salaud, adorable salaud ! Hier, j’ai été tellement surprise que ma tête a brutalement repris le commandement. Mon cul ne l’avait pas consulté avant d’agir. Pardonne-moi ma réaction.
— Elle est normale dans ton cas. Mais maintenant, que comptes-tu faire ?
— Tu vas bien voir.
Comme la veille, elle reprend l’outil en main, à nouveau se caresse. Pour Robin, le même supplice – ou plaisir – recommence. De plus, la vue de ses seins qui balancent doucement devant lui n’est pas pour le calmer. Sentant la situation devenir critique, il bloque le poignet. Surprise, elle le regarde et remarque son air tendu. Elle comprend.
Alors, se soulevant sur ses genoux, elle place l’engin au bon endroit, bien humide, et se viole. Une descente lente, une grimace, et bientôt ses fesses appuient sur les jambes de Robin. S’enfoncer dans cet étau serré, l’idée qu’il pénètre dans une presque vierge manquent de le faire exploser. Heureusement pour lui, sa maîtresse reste immobile une minute afin de laisser son corps s’habituer à cette présence, et surtout appréciant d’avoir vaincu ses peurs.
Puis elle ...