1. Une pénible affaire


    Datte: 13/12/2018, Catégories: fh, policier, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... pas. Elle vient, s’assoit sur ses genoux, appuie son dos contre le torse de son ami. C’est elle qui prend les mains de l’homme et les pose sur ses seins. Il les englobe, les soupèse. Les pouces et index vienne enserrer les bourgeons qui durcissent. Longuement, il les triture.
    
    Elle se libère de l’étreinte, se dresse, quitte sa robe, apparaît en culotte. Se rasseyant, elle remet en place les mains, les invitant à continuer leur caresse sur sa peau nue. Un gémissement s’échappe de ses lèvres. Robin est au paroxysme de l’excitation ; son sexe, dur comme une barre de fer, s’incruste entre les cuisses féminines. Elle ne peut ignorer cette tension. Ça la décide à se dresser à nouveau.
    
    Il décide de se dépouiller lui aussi, mais conserve son caleçon afin que la vue du sexe ne l’effraie pas, s’assied sur le canapé. Elle reprend la position, assise contre lui comme dans un fauteuil, place les mains sur ses seins. À nouveau, il reprend les mêmes attouchements. Après quelques minutes de ce traitement, elle se dégage et fait un demi-tour, face à lui, les genoux repliés, à cheval sur ses jambes. Elle l’embrasse éperdument.
    
    Entre ses cuisses, elle sent la rigidité masculine qui vient s’incruster entre ses lèvres intimes. Sans se désunir, elle descend une main pour enfin connaître ce qui lui fait tant peur. C’est d’abord un contact du plat de la main pour en apprécier les dimensions. Puis, se reculant un peu, elle la glisse à l’intérieur du vêtement, touche directement le sexe. Une ...
    ... hésitation de quelques secondes, puis elle l’enserre. Elle baisse le tissu du sous-vêtement afin de mieux le saisir. Elle tient la queue, rapproche son bassin jusqu’à ce que la pointe vienne effleurer sa fente. Et à l’aide de l’outil, commence à se donner du plaisir.
    
    Elle a l’air d’apprécier ça, mais Robin est au supplice. Si elle continue ainsi, il ne va pas tarder à exploser. Tout à coup, elle pousse un cri en se raidissant, avance le bassin et engage une partie de l’organe dans son vagin. C’en est trop pour lui : il se vide, en partie à l’intérieur de son ventre, le reste s’écoulant sur son caleçon.
    
    Surprise par cette réaction, elle se dresse et constate les dégâts. Elle part en courant dans la salle de bain et s’enferme.
    
    Il est complètement désorienté. Que veut-elle, que doit-il faire ? Le fait de s’enfermer semble indiquer qu’elle ne veut plus qu’il la touche.
    
    — Ouvre, que je puisse entrer pour me nettoyer, lui demande-t-il devant la porte.
    — Non, laisse-moi.
    — Je t’en supplie, je suis dans un triste état, c’est toi qui l’as provoqué. Je ne t’ai rien imposé. Laisse-moi entrer, je ne te toucherai pas, je te le jure.
    
    Le verrou a claqué, la porte s’est entrouverte. Sans la regarder, il est allé dans la cabine de douche. Il l’a entendu quitter la salle de bain.
    
    Que va-t-elle faire ? Après s’être séché, il regagne la salle de séjour : personne. Elle est probablement partie.« Il vaut mieux que j’attende demain pour l’appeler. Je vais me coucher. »
    
    Le lit ...
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