Mademoiselle Leroy
Datte: 11/12/2018,
Catégories:
fh,
policier,
Auteur: Zahi, Source: Revebebe
... sexe.
— Si, de temps en temps, quand ça arrive.
— Et c’est arrivé quand la dernière fois ?
— Avant que je te voie, je pense.
— Je ne te plais pas ?
— J’adore les filles qui mentent. Et qui l’assument.
— Allons chez moi.
La nuit était bien avancée maintenant, la rue déserte. Nos mains s’effleurèrent devant son coupé Audi A4. Dès que nous fûmes dedans, elle se pencha vers moi, nos bouches se trouvèrent. J’avais fermé les yeux, je cherchai sa poitrine. Je palpai à travers le chemisier, puis j’introduisis une main, sentis sa chair. Ses seins étaient lourds, presque solides. Je les pressai, elle gloussa.
— Tu me fais mal, soupira-t-elle d’une voix vaporeuse.
— On dirait des seins vierges.
— C’est très spirituel, ricana-t-elle.
— Non, physique. J’adore les seins fermes.
— Partons.
Elle enfonça le champignon, dévala la ville. Chez elle, c’était dans une résidence d’appart-hôtel de luxe, réservée aux expatriés. À l’entrée, deux flics briquaient les portes de leur voiture de service. Ils nous saluèrent puis une grande porte battante s’ouvrit en ayant l’air pas trop pressée. La voiture traversa un grand jardin gazonné jonché de palmiers et d’arbres d’ornement, bichonnés comme des caniches, taillés en hélices et autres formes géométriques, puis s’arrêta sous un abri devant un petit lotissement de cinq ou six appartements de deux ou trois étages de haut.
Dès qu’elle ferma la porte, elle attrapa mon visage entre ses mains et nos bouches de nouveau se rencontrèrent, ...
... se déchirèrent. Je sentis qu’elle avait besoin de vitesse, et de poigne. Son haleine était bien avinée.
— J’ai envie. Baise-moi maintenant.
Elle s’attaqua aussitôt à mon pantalon, dégrafa la braguette, tira en bas le slip. Mon sexe se dégagea. Elle le prit dans une main et me poussa sur un canapé, le premier qu’elle trouva. D’un coup, elle le mit, entier, dans sa bouche. C’était sans préliminaires, sans un mot. Elle était chauffée à blanc, mouillée de partout. Elle manipula ma queue comme un jouet, tantôt elle l’étirait par ses lèvres, tantôt elle la tassait au fond de sa gorge. Elle la branlait aussi, déversant sur elle sa salive. Elle était furieuse, mais tendre. Ses gestes étaient calculés à la mesure de l’enjeu. Je manquai partir.
— Doucement, lui dis-je, tu vas tout gâcher.
Elle se mit sur le canapé, fit glisser son jean, sa culotte en dessous était en dentelle rouge. Son ventre était plat, étroit, des éclats de rousseurs émaillaient sa peau. Elle était joliment fabriquée. Dieu parfois fait bien les choses.
J’y passai la main. Elle transpirait de toute sa chair. Je me mis à genoux, en face d’elle. Elle pressait ses seins, m’implorait de faire vite. Je baissai le slip, pressai la main sur le renflement de sa chatte. Elle gémit. J’y introduisis un doigt. C’était bouillant. J’introduisis un autre doigt, coulissai l’ensemble. J’accélérai, elle ondula les hanches, puis se crispa. Elle jouit, mes doigts baignaient dans son liquide visqueux. Elle prit à peine deux ...