La délurée Justine est bonne à marier
Datte: 08/12/2018,
Catégories:
f,
fh,
cadeau,
Inceste / Tabou
campagne,
soubrette,
cérébral,
revede,
init,
exercice,
portrait,
Auteur: Cheminamants, Source: Revebebe
... brusquement son mouvement de friction en espérant chasser l’intrus. Peine perdue, aussitôt qu’elle reprend le jeu sur ses lèvres intimes ouvertes par le plaisir ou autour de son clito durci sous ses pressions, il est de nouveau là. Elle finit par renoncer à lutter contre l’image souriante. Elle le laisse installé dans ses pensées en complice, pendant qu’elle s’occupe de sa féminité jusqu’à l’épuisement.
—oooOooo—
Bien tôt le lendemain matin, à l’heure du petit déjeuner, le brave Justin est venu la chercher dans la cuisine, sans lui dire la raison de cette pressente convocation.
Elle le suit. Debout sans bouger à l’entrée du salon, où se prend ce repas léger, elle est bien chagrine devant monsieur et madame Montfort installés autour de la table. Constantin est là, assit dans un fauteuil près de la cheminée. Il ne s’est pas retourné vers elle à son arrivée et regarde par la fenêtre. Elle tortille son tablier et attend, songeuse. Elle a bien quelques petites idées, mais pense plutôt à sa lecture d’hier.
—oooOooo—
Le moment est venu de savoir et c’est monsieur qui prend la parole :
— J’en apprends de bien belles, Justine !
— Je ne comprends pas, monsieur Montfort.
Justine préfère feindre la surprise, mais elle imagine que Constantin a pu parler à ses parents du livre et ils doivent juger qu’il n’est pas convenable pour une demoiselle.
— Ne savez-vous pas ce qui se dit sur vous ?
— Non, vraiment pas, mais j’aimerai bien le savoir.
— Il est venu à mes ...
... oreilles que vous tentiez quelques garnements et que vous étiez prête à perdre votre vertu pour chacun d’eux.
« Quel soulagement ! ce n’est que cela », pense-t-elle. Vite, elle réagit :
— En voilà bien des meilleurs ! Monsieur Montfort, qui me tenterait donc au point de me faire perdre la tête ? Et c’est un minimum d’après ce que j’entends là. Me voilà rassurée !
Constantin choisit ce moment pour tousser de manière légèrement exagérée et lui adresse un regard furtif de connivence qui semble lui dire :« voyez, je n’ai rien dit ! », tandis que son père reprend la parole en se montrant choqué :
— Baissez d’un ton, je vous prie ! et montrez plus de retenue. J’ai à vous dire quelles sont ces accusations, si vous voulez vous en défendre. Voilà donc les prétendus fougueux : Il y a Hippolyte, qui s’acquitte de sa tâche dans les vignes des Maulins. François, le cuisinier des Fortier. Les jumeaux Arthur et Thomas, fils de mon ami de toujours, monsieur Misserets qui possède le moulin de Maitranceaux. Il est de bonne famille, je l’affirme. La liste n’est pas finie ! Il y a ceux qui travaillent sous mon toit, en plus de ça ! Louis, mon précieux comptable qui s’occupe aussi de la bibliothèque. Alexandre, qui s’acquitte fort bien de sa tâche dans la cave de notre maison, sans oublier le brave Justin, indispensable sur nos terres, partout où pousse la vigne et qui rend aussi des services à la maison. Cela fait son compte, il me semble et j’en suis fort contrarié.
— Pas tant que ...