La délurée Justine est bonne à marier - Histoires de Sexe

La délurée Justine est bonne à marier

... Justine en femme nouvellement éclairée se fait fort de ne tomber dans aucun filet, si ce n’est de sa propre volonté.

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Tiens, justement en voilà un qui arrive ! Il est de ceux qui essayent en vain de la convaincre que s’allonger dans la paille vaut mieux qu’un mariage. Mais Hippolyte qui donne la main dans les vignes chez les Maulins n’est pas à son goût. Elle le lui a déjà dit maintes fois, alors tant pis pour lui s’il revient s’y casser les dents !

Aussitôt arrivé, il s’empresse :

— Alors Justine, comment va ?
— Bien, comme toujours, Hippolyte.
— Jeune et fraîche comme tu es, encore quelque temps et je pourrais revoir tes jolies épaules. Il me tarde de t’admirer dans tes robes légères.
— N’as-tu point d’autres conversations ?

Justine fait mine de ne pas être intéressée par le sujet qui la préoccupe et pour délier la langue de ce grand jeunot, il suffit juste qu’elle le dissuade de s’épancher sur toutes ses bonnes idées grivoises pour qu’il reprenne de plus belle. C’est même un petit délice de l’entendre en rajouter un peu plus à chaque fois, jusqu’à ce que la demoiselle décide qu’il en suffit pour ce jour. Ça fait ni une ni deux, le voilà qui se lance :

— Parler d’autre chose que des faveurs que je souhaite que tu m’offres ? Pas vraiment ! J’ai à te proposer une fois de plus quelques petites douceurs et j’espère que tu les accepteras cette fois-ci. Voilà, tu me laisses glisser ma main sous tes jupons et en écartant un peu tes cuisses, je ...

... pourrais caresser ton jardin et titiller ton bouton de rose. Mais si tu préfères, je te laisse bien volontiers t’occuper de ma grappe car le jus en est à point. As-tu déjà vu des vendanges aussi prometteuses ?
— Il manquerait plus que je touche à ta grappe ! Par contre, bougre que tu es, tu ne te gênes pas pour tâter les grains à travers ton pantalon à ce que je vois ! Et je pense que tu serais bien tenté par le descendre aux genoux si tu pouvais mettre ta récolte au creux d’un panier accueillant ! Ta façon d’agir montre que tu es encore vert, alors que je me laisserais plutôt tenter par des vendanges tardives, bien plus goûteuses d’après ce que j’en sais… en théorie.

Hippolyte continue :

— J’ai l’avantage que ma vigueur est bien belle et si tu acceptes que je me mette à genoux devant toi, je cacherai bien ma tête sous ta jupe et je me ferai un devoir avec ma langue d’exciter ton joli puits par la fente de ta culotte en espérant que tu me laisseras ensuite boire ton jus d’amour.
— …
— Mais dis quelque chose Justine, ne me laisse pas sans espoir !
— Tu connais ma réponse, Hippolyte, mais continue si tu veux m’expliquer tout ce que tu ferais pour me plaire.
— En me suivant dans la cabotte des vignes du père Fortier, les pierres sèches de cet abri étoufferaient tes cris de plaisir si mon pieu s’activait dans ton ventre. Il est fort vaillant et aucune ne s’en est plainte jusqu’à présent, bien au contraire !
— Penses-tu me proposer le mariage ?
— Bien sûr Justine… juste ...