Sulfureux scoutisme (1)
Datte: 07/12/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Lydris, Source: Xstory
... couler son short sur ses jambes, dévoilant ses cuisses frissonnantes et son sous-vêtement que je devinais humide.
Une odeur puissante de transpiration et de cyprine vint se mêler à celle de la pierre mouillée et de la rosée du soir.
Je me débarrassai de ma chemise et de mon short d’un seul mouvement. Le sang affleurant ma peau transpirante, l’effluve d’Astrée et la froideur de la pierre sous mes genoux avaient achevé de me faire dessoûler, et je sentais distinctement mon sexe bandé tressaillir au rythme des battements de mon cœur. La brise qui soufflait alors dans la clairière vint caresser mon gland à travers le tissu trempé de liquide séminal de mon caleçon. Astrée fit glisser ses mains sur son corps dans un mouvement d’un érotisme indescriptible, attrapant son sein d’une main tandis que les doigts de la deuxième venaient caresser, à travers l’étoffe de sa culotte, les pourtours -rendus visibles par la mouille- de son abricot. Son regard n’avait plus rien du jade ou du calme étang ; c’étaient la tempête sur le Pacifique, les danses langoureuses desgeishas japonaises, la farouche soumission de la tigresse en chaleur.
Dans un rugissement qui se foutait du monde extérieur, je me jetai avidement entre ses cuisses, enserrant fermement la chair de ces dernières entre mes phalanges pour les presser autour de ma tête. Je devais absolument boire à la source cette fragrance de femme. Mordant presque le fruit défendu, je plongeai mon nez au niveau de son clitoris pour ...
... fouiller avec ma langue le tissu détrempé. Il exhalait une odeur salée, amère, âcre, de transpiration et de sucs féminins dont je me délectai tant et si bien que la main ferme d’Astrée vint attraper mes cheveux pour pousser ma tête plus avant entre ses jambes. Mais elle ne comptait pas me libérer pour autant ; je l’ai compris quand j’ai senti quelque chose remuer, de l’autre côté du tissu, et que j’ai réalisé qu’elle était en train de se masturber avec ma bouche et ses doigts en même temps.
Je sentais les muscles puissants de son bassin turbiner les uns après les autres en des cercles délectables tandis que sa main dans mes cheveux redoublait d’ardeur pour m’attirer vers son corps. N’y tenant plus, je lâchai la cuisse de mon amante pour dégager sur le côté l’étoffe sous ma bouche ; je découvris une grotte trempée qui dégoulina sur mon menton lorsque j’y fourrai un doigt et ma langue. Le gémissement assourdissant qui s’ensuivit redoubla mon excitation, et je me mis à fouiller furieusement –et pendant une délicieuse éternité- l’intérieur du sexe de ma compagne.
Enfoui jusqu’à la dernière phalange au fond de son intimité, j’accomplissais des cercles de plus en plus larges qui électrisaient chacun des tissus ruisselants de son intimité tout en me repaissant de ses sécrétions ; la puissante fragrance de son sexe me poussa à prolonger l’exploration buccale tout le long de ses grandes lèvres, embrassant cette deuxième et odorante bouche de ma langue avide, roulant, explorant, ...