1. AU BORD DU LAC 8/8


    Datte: 01/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... gène pas. Je suis consciente des limites à ne pas franchir, mais, quand j’étais plus jeune, j’aimais bien provoquer, choquer la morale ou la bien pensance judéo-chrétienne. Dans mon métier, je suis obligée de respecter les rêgles, de faire des concessions, d’arrondir les angles comme on dit. Je l’ai fait également pour respecter les conventions sociales, mais ton audace m’a rappelé qui je suis, et a ramené un peu de cette spontanéité que j’avais perdue. »
    
    Elle se mit à plat ventre, et je fis quelques clichés de sa silhouette longiligne et fluide, son dos creusé qui remontait sur la courbe de ses fesses, des gros plans de son profil à la fois doux et énergique avec ses pommettes saillantes, son nez délicat et sa bouche pulpeuse au dessus d’un menton volontaire. Quand elle tournait la tête vers moi l’ovale de son visage adoucissait encore son sourire, ses yeux cachés par ses Ray-ban. Je lui demandai de se retourner et elle se mit sur le dos, prenant des poses suggestives, faisant saillir sa poitrine.
    
    Elle s’agenouilla face à moi, et prit ses seins sous ses mains les soulevant légèrement comme pour me les offrir.
    
    « Les photos, c’est pour toi. Tu peux les montrer, bien sûr, mais seulement à des personnes de confiance. » déclara t’elle avant de se rallonger sur le côté, face à moi.
    
    Je rangeai l’appareil et quand je me tournai de nouveau vers elle, sa main se tendit vers son entrejambe. Avec deux doigts, elle commença à masser ses grandes lèvres, et son clito. Elle ...
    ... enleva ses lunettes et de ses yeux clairs, me fixa intensément, continuant à se caresser. Elle écarta ses cuisses et intrduisit son majeur dans son sexe, bientôt rejoint par son index, puis par un troisième doigt. Elle ouvrait son antre et fouillait en frottant à chaque passage son capuchon qui grossissait, gorgé de sang
    
    « J’ai encore envie » chuchota t’elle, sans s’arrêter
    
    Je l’observais, captivé. Ma main s’était emparée de ma queue, et je me masturbais en face d’elle, le chibre bien dressé devant moi. Son souffle s’accélérait, comme ses mouvements, en même temps que les miens.
    
    « Viens maintenant ! » me cria t’elle.
    
    Je n’attendais que ça et je sautais sur le pont pour l’embrocher. Je la trouvai ouverte et ruisselante, et me mis à la pistonner en missionnaire. Elle repoussa mes bras l’un après l’autre, pour passer ses jambes tendues contre ma poitrine. Jambes serrées, pliée en deux, elle subissait mes assauts, son cul soulevé, mon torse venant percuter ses jambes et son sexe à chaque fois que je retombais sur elle. J’accélérai le tempo pour arriver très vite à un rythme effrené. Elle tenait ses chevilles et glapissait de plus en plus fort. Je sentis la coulée de lave monter en moi et j’éjaculais puissamment dans un râle , sans cesser mon mouvement, et elle cria son orgasme à son tour.
    
    « Wahow, c’est fort comme ça aussi » soupira t’elle en reposant ses jambes. »
    
    Nous nous embrassâmes longuement.
    
    Un peu plus tard, trouvant le soleil trop fort, je me mis à ...
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