1. AU BORD DU LAC 8/8


    Datte: 01/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... l’abri sous le dais. Déborah somnolait au soleil. Elle émergea au bout d’une heure et vint me rejoindre. J’étais appuyé sur le siège du pilote et elle vint se glisser entre le volant et moi. Ronronnant comme une catte, elle frotta son dos et son fessier contre mon torse, et agaça mon sexe par de petits mouvements du bassin. Je m’assis dans le fauteuil, et elle plaça ses jambes de chaque côté de mes genoux. Elle s’assura de la rigidité de mon sceptre avant de venir s’asseoir dessus. Elle se tenait au volant, montnat et descendant comme un ascenseur sur moi. Je saisis ses tétons que je pinçai fortement, la faisant crier. Elle eut un nouvel orgasme trmblant de tout son corps et s’abattit sur le volant. Ayant déjà déchargé plusieurs fois, je n’avais pas joui, mais j’étais encore bien raide. Profitant de ma position, je restai en elle et la soulevant , glissai un doigt dans son anus. Elle émit un petit couinement, mais ne protesta pas. J’assouplis son sphincter avec mon doigt, puis sortant ma queue de sa chatte, je présentai mon gland à l’entrée de son petit trou. Elle eut un mouvement de recul.
    
    « On ne m’a jamais prise par là »
    
    « Jamais ? » interrogeai-je étonné. Après tout, elle avait plus d’expérience que moi
    
    « Non, je n’ai jamais eu besoin »
    
    « Il est vrai que tu utilises si bien les muscles de ton vagin. Mais ton mari ne t’a jamais demandé ? »
    
    « Si mais j’ai dit non. »
    
    J’étais un peu dépité, c’était raté.
    
    « Mais avec toi, je veux bien. Il faut être très ...
    ... doux. J’ai envie de te donner quelque chose. Je veux que tu sois le premier. »
    
    Elle tourna la tête et je l’embrassai longuement, tout en forçant l’entrée de son cul, de mon gland. Je pénétrai, petit à petit, et elle cria de douleur. Puis mon gland fut comme absorbé, et je me retrouvai à coulisser souplement en elle. Elle y prenait plaisir, car ses plaintes changèrent de ton. Elle empoigna le volant et recommença son mouvement de pompage, ses fesses venant claquer fortement sur mes couilles quand elle retombait
    
    « Oh, oui, Tu m’encules bien ! » rugit elle « Mets te doigts dans ma chatte ! branle moi bien, c’est bon ! »
    
    Je m’exécutai, tandis qu’elle coulissait de plus en plus vite sur mon membre, sa cyprine dégoulinant sur mes doigts, son clito, dur comme la pierre. J’étais serré dans cet étroit et bouillant conduit. Mon sexe me faisait mal, à force de tension. Je sentis une onde de plaisir partir de mes bourses et j’explosai à longues giclées dans ses intestins. Elle resta, un moment assise sur moi. Ma queue dégonflait dans son cul. Elle se dégagea dans un plop qui laissa échapper un peu de ma semence, et se retourna pour m’embrasser encore.
    
    « Si j’avais su, je l’aurais fait avant » sourit elle. « Allez hop, à l’eau ! »
    
    Alors que nous rentrions, Debbie tours nue à la barre me confia
    
    « Je crois que je vais divorcer. »
    
    « Eh là, pas si vite » me hatai-je de répliquer.
    
    « Non, ne t’inquiète pas. Je sais que tu ne m’as rien promis et je n’ai rien a t’offrit. ...
«12...91011...»