AU BORD DU LAC 8/8
Datte: 01/12/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Poesexe, Source: Hds
... froid de la glaces. Mon sexe durcit s sous cette exquise torture. Je roule sur le côté, et l’attire vers moi. Je soulève une de ses jambes et viens loger ma tête contre son pubis. Je commence par embrasser son ticket de métro, puis je sors ma langue pour faire sortir son bouton d’amour, que je tête aussitôt. Je sens ses effluves de femme contre mes narines. Elle ouvre ses jambes, m’acceptant tacitement dans son intimité. Je pointe ma langue, écartant ses lèvres fouillant le plus loin possible dans sa chair rose, pendant qu’elle em masse les couilles en me suçant régulièrement,. J’avance ma tête, forçant le passage, entre ses cuisses, découvrant son sillon jusqu’à son anus en étoile que je butine. Surpris, elle s’interromp un instant pour profiter de cette caresse inédite, avant de replonger sur ma queue, avec des gémissements de plaisir. Je cramponne ses fesses à deux bras, plaquant mes lèvres sur son cul, puis revenant aspirer violemment son clito, déclenchant un orgasme court mais intense.
Je la prends, ensuite en levrette, appuyée au bastingage, ses seins remuant au dessus de l’eau transparente, ahannant en cadence son plaisir jusqu’à un deuxième orgasme. Elle m’échappe ensuite et plonge dans l’eau, où je ne tarde pas à aller aussi. Je la rejoins sur un rocher où nous avons pied, et la saisis par la taille, la plaquant contre moi, trouvant l’entrée de son sexe encore ouvert. Elle passe ses bras autour de mon cou, ses jambes autour de ma taille et se laisse enfiler ...
... doucement, les mouvements ralentis par l’eau qui clapote autour de nous. Elle utilise alors son arme secrête, et je sens mon penis, malaxé par sa matrice. C’est chaud et doux, quand tout autour de moi est froid. Elle vient mordiller gentiment mon epaule, et embrasser mon cou, et je décharge en elle un torrent d’amour brûlant.
Nous regagnons le bateau. Elle essore sa longue chevelure dans une gracieuse inclinaison du cou, ses deux mains pressant sur une nette brune qu’elle vient de composer. Les goutelettes d’eau font scintiller son corps sous le soleil
Il est temps de se restaurer, elle ouvre la glacière qu’elle a amené et prépare un melon , étale quelques tranches de jambon de pays sur une assiette.
« Je sais que tu n’aimes pas trop la bière, alors j’ai pensé à du rosé. » dit elle en sortant la bouteille qu’elle me tend avec un tire-bouchon. Le melon est sucré , et le jambon très fin complète bien le pain de campagne. Le rosé coule à flots. J’ai entamé la deuxième bouteille, et je suis un peu pompette. Quelques pêches juteuses cloturent notre dinette. Déborah se lève passant par la porte ouverte dans le pare-brise va s’étendre sur le sun-deck sur le sun-deck, son verre a portée de main. Je prends alors mon appareil photo dans mon sac à dos, et lui demande l’autorisation de faire quelques clichés.
« Vas y, « me répond elle « Je n’ai pas de problème avec mon corps. Tu sais, j’ai accepté de satisfaire ton souhait de me savoir sans culotte, parce que, au fond, ça ne me ...