1. AU BORD DU LAC 8/8


    Datte: 01/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... chemin de terre nous amena devant un portail de fer forgé. Déborah, descendit de la voiture, et, sortant un gros trousseau de clés, alla ouvrir, me faisant signe de me garer devant l’habitation. Je quittais l’auto. Nous étions dans une vaste cour en gravette, devant une batisse en pierre du pays, de taille imposante. Elle était campée sur un grand parc arboré, en partie, qui descendait en pente avec une vue sur le village et son étang, qu’on surplombait depuis la terrasse. Les espaces verts parfaitement entretenus dégageaient cette odeur particulière de l’herbe fraichement coupée. Après avoir vérifié les extérieurs, Déborah ouvrit la porte d’entrée, et inspecta les pièces, en ouvrant les volets. Tout était propre, et quasiment vide, les propriétaires n’avaient laissé que quelques meubles. Certaines pièces , comme la cuisine tout équipée, avaient dû être rénovées récemment. Les plafonds culminaient à plus de quatre mêtres
    
    « C’est grand. « commentai-je « Il y a de belles cheminées. »
    
    « Elles fonctionnent toutes » précisa Déborah « Viens, on va voir là haut. »
    
    Là haut, c’était un étage, en haut d’un escalier de marbre, où six chambres vides cotoyaient trois salles de bain,. Au dessus, on accédait au second étage par un escalier en chène, un peu plus étroit que le premier. Cet étage, autrefois destiné aux domestiques, comprenait quatre chambres, équipées de salles d’eau, et meublées de lits, et tables de chevet. Arrivés à la dernière, après avoir fait le tour et n’avoir ...
    ... décelé aucune anomalie, Déborah s’approcha de la fenêtre, en fait une lucarne qui donnait sur le village, et la campagne environnante, et me tourna le dos. Je m’approchai d’elle doucement, et posai une main sur son épaule.
    
    Je massai doucement son cou, quand elle se retourna d’un bloc. Elle se jeta contre moi en un baiser fougueux. Nos lèvres se soudèrent et je caressai ses dents de ma langue. Je sentais son souffle court, et ses mains qui couraient sur moi, sous ma chemise . Je la plaquai contre moi, en l’embrassant dans le cou, mes mains parcourant son dos et ses fesses. Ma chemise déboutonnée, finit sur le sol, et elle s’attaqua à mon jean, défaisant les boutons métalliques, pendant que dans un soubresaut de réalisme, je virai mes chaussures, pour ne pas me retrouver empêtré avec dans le pantalon. Je repoussai Déborah, un instant et défis la large ceinture blanche. Les pans de sa robe s’ouvrirent, et elle la fit glisser, m’apparaissant en sous-vêtements blancs, comme ses hauts talons. Elle fit descendre mon jean et m’en débarrassa, avant de revenir se coller à moi. Nos bouches se trouvèrent de nouveau. Sa main se faufila dans mon boxer pour attraper mon sexe et le libérer. Le boxer ne mit pas longtemps à suivre le chemin de mes autres vêtements. A mon tour, je dégraffai son soutif en dentelle blanche. Je l’aidais à l’oter et m’emparai de ses seins. Ils étaient tels que je les avais imaginés, en poire, mais fermes, avec des aréoles brunes larges et au milieu des bourgeons ...
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