1. AU BORD DU LAC 8/8


    Datte: 01/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... dimanche matin, j’étais sur le ponton de la marina, au camping, où Déborah m’avait demandé de l’attendre. Il est encore tôt, mais un canot à moteur arrive dans une gerbe d’écume. Il ralentit et vient fendre , en douceur les eux calmes du port. C’est un cabin cruiser,beige, à l’étrave éfilée, pas très imposant, avec une plateforme, à l’arrière pour la pêche, et un sun-deck sur le plat bord avant. Le poste de pilotage est recouvert d’un dais de toile Bordeaux,. Le canot vient se coller au ponton et je saute dedans. Déborah redémarre aussitôt et nous partons vers le large. Alors que je suis en bermuda, tee-shirt et tongs, elle est en robe bleu marine à liserets blancs, fermée sur le devant par de gros boutons blancs. Je m’approche et l’enlace en lui faisant des bisous dans le cou. Elle tourne la tête et m’embrasse vivement sur les lèvres.
    
    « Je croyais qu’on se faisait une journée baignade, et bateau. Je ne t’attendais pas si habillée. »
    
    « Je n’ai pas eu le choix. » dit elle avec un sourire
    
    « pas le choix ? »
    
    « Tu m as confisqué mes sous vêtements. Je ne pouvais me déplacer comme ça. » dit elle en déboutonnant sa robe qu’elle laisse choir, et sous laquelle elle est nue.. »
    
    « La surprise est délicieuse ; » murmurai-je en passant mes mains sur ses fesses cambrées, avant de venir empaumer ses seins.
    
    « Il va falloir rester tranquille un moment, si tu ne veux pas qu’on aille s’échouer, ou percuter un autre bateau. » gronde t’elle en repoussant mes mains ...
    ... inquisitrices. Le gros V6 ronronne sous nos pieds, et l’eau défile à toute vitesse. Nous contournons la grande ile, puis traversons la seconde partie du lac, ignorant la crique où Océane m’avait emmené, continuant dans le dédale des bras tentaculaires de cet immense lac. Nous arrivons dans une partie, tout au bput, ou les bras sont plus étroits et plus longs, sortes de petits fjords, qui viennent s’insinuer entre les collines boisées. Ici le fond n’est que roche et l’eau claire.
    
    Déborah, navigue avec habileté d’un bras à l’autre, évitant les hauts-fonds, et finit par stopper l’embarcation. Elle coupe le moteur, laissant la coque courir sur son erre, et jette un grappin à l’arriére qu’elle fixe à un taquet.
    
    « Voilà, on est au bout du lac ; presque au bout du monde » dit elle en désignant le fond de la baie.
    
    Je la prends contre moi, et elle me débarrasse de mon bermuda, pendant que mes mains explorent son sexe. Elle m’entraine vers l’avant du bateau ou nous nous couchons sur un grand matelas recouvert d’une housse en éponge. Elle me fait mettre sur le dos et se met ensuite sur les genoux. Elle prend un flacon d’huile solaire et commence à m’enduire le corps avec, tartinant partout, des épaules au pieds, puis elle se penche et me prend en bouche, pour une fellation d’anthologie. Elle puise dans sa petite glacière des glaçons qu’elle met dans sa bouche avant de venir de nouveau faire coulisser ses lèvres sur ma queue. La sensation est exquise, tantôt le chaud de sa bouche, tantôt le ...
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