Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (2)
Datte: 30/11/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Olga T, Source: Hds
... voyant ainsi, il jouit enfin en moi, remplissant ma chatte de son sperme chaud et abondant. Il termine d’éjaculer en lâchant des gémissements de plaisir.
N. était le seul homme capable de me procurer un plaisir époustouflant en aussi peu de temps.
J’étais incapable de bouger ou de me relever. Je suis restée quelques instants effondrée sur le lit, reprenant mon souffle et mes esprits. N. se retire, sortant sa grosse bite encore raide de ma chatte qui s’est immédiatement vidée de tout le foutre qui l’inondait. Je sentais son sperme couler entre mes lèvres et jusqu’à mon anus.
Il s’assoit ensuite à cote de moi, il me prend dans ses bras. Je l’embrasse tendrement et je m’assoupis sans le vouloir, blottie contre lui. A cet instant, j’étais heureuse, sans réaliser ce que j’avais fait et dans quelle situation, dans quelle impasse je ‘étais mise.
DOMINEE
J’habitais désormais chez N. Je retrouvais, en pire, la vie que j’avais déjà connue avec Hassan. Au moins du temps d’Hassan, Philippe était près de moi.
Certes, je me retrouvais dans mon pays, que j’avais quitté depuis plus de quinze ans, où j’avais perdu de vue mes amis, choqués par mon mode de vie. Je ne me voyais pas tenter de reprendre contact, encore moins me réfugier chez eux ou chez ma mère. J’avais bien essayé en vain de reprendre contact avec elle. Ma dernière incartade avait provoqué une rupture en apparence définitive, d’autant qu’elle avait mis la faute sur « ton père et Philippe ».
Même les contacts ...
... avec Agun étaient brefs et espacés, pour avoir des nouvelles des filles, qui refusaient de me prendre au téléphone.
Je tentais de mentir à Agun, en disant que j’étais heureuse, que je voulais avoir un autre enfant avec N., devenir son épouse, dès que le divorce d’avec Philippe serait prononcé.
Par instinct, convaincue qu’on pouvait encore réparer les dégâts, Agun tentait désespérément de ralentir la procédure, gardant l’espoir fou d’un retour à la normale. Philippe, ulcéré par mon attitude, avait fait constater que j’avais quitté le domicile conjugal et avait lancé une procédure qui, contrairement à notre précédent divorce, serait conflictuelle et longue. Par égard vis-à-vis des enfants, il ne vivait pas avec Théodora, même s’il était de fait en couple avec elle.
N. voulait avant tout maintenir sa totale domination sur moi. Certes, je n’étais pas sous surveillance, comme c’était le cas du temps d’Hassan, qui avait placé sa cousine Hassna auprès de moi pour veiller à mes faits et gestes.
C’était plus subtil et plus insidieux. Il avait balayé l’idée, que j’avais évoquée, de rechercher du travail. Après une période de congés sans solde, j’avais fini par démissionner des fonctions que j’occupais avant de rejoindre Philippe en France. D’autre part, la situation économique dans le pays rendait très difficile la recherche d’un poste, même si j’étais prête à de moindres prétentions par rapport à ma qualification. Et surtout N. fut très direct :
• Avec moi, les règles ...