1. Un dimanche agité


    Datte: 25/11/2018, Catégories: fh, pénétratio, occasion, Auteur: Tib, Source: Revebebe

    ... renfourne la zézette, zippe la braguette. Pfiou…
    
    Dans la salle d’eau elle s’essuie, réajuste cache-nénés et corsage. Merde de merde ! Elle n’a plus de culotte propre. Bon, elle s’en passera et s’arrangera pour ne pas montrer ses poils à l’étranger.
    
    Sur le sofa, ça pionce toujours.Crénom, il va pas se payer un deuxième somme celui-là ! Moi aussi faut que je dorme, j’suis crevée, lessivée ! Faut dire que les deux séances de zizi-panpan lui ont bouffé toutes ses réserves, de plus après tant de temps de sevrage, elle manque plutôt d’entraînement pour les prises de cul acrobatiques.
    
    Elle entrouvre la fenêtre, faut aérer là-dedans, ça pue le cul à plein nez et s’il identifie l’odeur, il pourrait se poser des questions. Par surcroît de précaution, elle allume une cigarette et fumaille en tirant et soufflant bouffée sur bouffée. Ce n’est pas une grande fumeuse, juste une clope de temps à autre pour passer le temps.
    
    Maintenant elle craint de s’endormir, se lève souvent, va se rafraîchir la frimousse, boit un coup de flotte, pisse plus souvent qu’a son tour. Elle pense aussi et revit les épisodes les plus marquants, c’est à dire les deux fois ou elle a tringlé. À bien y réfléchir, par deux fois, elle a commis un viol, non ?A mon age, tu te rends compte ! Du coup, elle jette un œil à la braguette de sa victime, si, aussi improbable que ce soit, elle détectait la moindre manifestation érectile, elle serait bien capable de perpétrer un troisième viol !Ben dis-donc, ma ...
    ... vieille, t’es pas la moitié d’une salope quand tu t-y mets, toi…
    
    5h30. Elle lui laisse encore un quart d’heure et après elle lui balance un seau de flotte sur la gueule ! Il ne va tout de même pas prendre racine ? Non ! Comme prévenu par on ne sait quel phénomène télépathique l’homme s’agite mollement, il gémit misérablement, ça doit cogner dur dans la caboche.
    
    Il ouvre un œil, le referme, il se masse le front, ouvre les deux yeux. Son regard hagard sur les bords, erre de-ci de-là.
    
    Brusquement il se redresse sur son séant et pousse un grognement de souffrance. Les coudes sur les genoux, le visage dans les mains il se fige quelques secondes puis lentement redresse la tête et fixe son vis-à-vis, interrogatif.
    
    — Qu’est-ce que… ? Qui êtes… ? bafouille-t-il lamentablement.
    
    De la main, elle l’apaise.
    
    — Taisez-vous et écoutez-moi, je vais essayer de vous expliquer comment vous êtes arrivé ici, et ici c’est chez moi.
    
    En mots simples, parlant lentement pour que ça rentre mieux, elle lui conte les événements qui depuis hier soir, l’ont amené à ce matin. Il va sans dire qu’elle omet de parler des deux épisodes de "bourre madame" auxquels il s’est prêté involontairement.
    
    Le visage du pauvre bonhomme passe de l’ahurissement à la consternation. De plus, le tocsin qui sonne le bourdon à toute volée dans sa calbombe l’empêche d’aligner ses neurones en files disciplinées.
    
    — Bon ! conclut-elle, je vais vous faire un café pendant que vous vous rafraîchissez. La salle d’eau ...
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