Un dimanche agité
Datte: 25/11/2018,
Catégories:
fh,
pénétratio,
occasion,
Auteur: Tib, Source: Revebebe
... passé et la lassitude la gagne. Belle lurette qu’elle ne veille plus aussi tard, surtout après une partie de fesses acrobatique, ça coupe les pattes…
Sursaut, coup d’œil a la pendule, merdouille : 4h1/4 ! Elle s’est assoupie, a plongé sans s’en rendre compte ! Et monsieur X ? Apparemment, il n’a pas bougé, il bourdonne un peu moins mais est toujours dans les vapes.
Tiens ! mais… On dirait que le renflement de sa braguette est plus marqué ! Marqué ? Le mot est faible, c’est une vraie bosse qui tend le froc, le déforme !
Elle s’agenouille, frôle de la main : ben oui, il bande le soiffard ! Riche nature, ce mecton. Voyons ça de plus près. Elle le dézippe et le grand chauve à col roulé surgit comme un polichinelle de sa boite. Serait-ce le fameux pipi-baton ? En tout cas il a l’air encore plus gros et plus dur que tout à l’heure.
La petite culotte de la dame se mouille instantanément, sa main enveloppe le gourdin, l’astique, bientôt rejointe par une bouche aux lèvres gourmandes. Et si on remettait le couvert pour un deuxième service ?
T’es malade ! Ce coup-ci, il va faire surface, range-moi ça et pense à autre chose.
Mais elle n’entend pas la petite voix de la raison, sa culotte est déjà sur la moquette, elle grimpe, juste une petite hésitation, debout cuisses ouvertes puis elle s’emmanche presque brutalement avec un "han" de bûcheron et marque une pause, le vagin entièrement conquis jusqu’à l’utérus par le gros bâton.
Comme dans la séance précédente elle ...
... monte et descend le long de la grosse tige de chair tuméfiée, allant presque à l’éjection au sommet de sa détente et s’écrasant la raie sur les roupettes quand elle se tasse. Là encore la cadence augmente à chaque coup. L’homme semble participer un peu plus, son souffle sourd et rauque accompagne les halètements syncopés de la femelle. Ses hanches, ses cuisses, viennent à la rencontre du cul potelé avec des bruits brefs de clapotis.
Elle se tortille avec tant d’énergie que ses seins s’irritent sur le soutif soudain trop étroit. Elle se dépoitraille, fait sauter les bonnets. Les mamelles jaillissent, dardant des mamelons agressifs aux pointes raidies et sombres comme des bouts de crayons.
La cavalcade devient échevelée, le moment d’ultime félicité est là, tout près. Le partenaire, conscient ou pas, lui aussi est au bord de l’envolée finale. Les contractions vaginales appellent l’irrésistible montée de sève. Il ne peut résister plus, sa queue s’agite, hoquette, le foutre s’élance, brûlant, noyant de liqueur grasse le ventre palpitant et… ils jouissent ensemble en râlant de plaisir.
C’est le grand silence, seuls les cœurs battent à tout rompre dans les corps figés. Elle redescend sur terre, s’affole :maintenant c’est sûr, il ne dort plus, il va ouvrir les yeux, me voir les nichons à l’air et sa bite encore plantée dans mon ventre.
Elle saute sur ses pieds, pas le temps d’aller chercher un gant de toilette, elle rafle sa culotte et s’en sert de lavette. En vitesse elle ...