1. Un dimanche agité


    Datte: 25/11/2018, Catégories: fh, pénétratio, occasion, Auteur: Tib, Source: Revebebe

    ... en serpillière.Elle ne se contrôle plus, à chaque apparition du gland, elle lance un petit bout de langue qui effleure fugitivement le méat. Puis sa bouche s’arrondit, elle s’enfourne la grosse biroute jusqu’a la glotte, s’étouffe à demi et enfin administre une turlutte appliquée à un rythme soutenu, perdant toute prudence.
    
    Calmos, s’il te plaît, tu vas finir par te le faire cracher dans la bouche, depuis le temps que tu n’as pas vu de pine ! Fais durer le plaisir, ne te conduis pas comme une chienne en chaleur.
    
    Elle s’arrête de sucer, le souffle court et contemple son œuvre. C’est vrai, il faut prolonger l’instant et puis, un beau morceau comme ça, si elle pouvait se le planter dans le ventre, se l’envaginer jusqu’aux roupettes… Et si… Et si elle grimpait debout au-dessus de lui, qu’elle s’accroupisse sans brusquerie et qu’elle s’enfile…
    
    Sa culotte est déjà au sol, restant accrochée à une cheville. Elle se trousse jusqu’au nombril, monte et, un pied de part et d’autre, à la bonne hauteur, ploie lentement les genoux.
    
    Sa vulve touche le gland, d’une main tremblante, elle le dirige vers son antre et elle s’enfonce, doucement, centimètre par centimètre. Point n’est besoin de lubrifiant, son jus de femelle a transformé son entrecuisse en marécage. Un râle de plaisir fuse de ses lèvres, son regard s’intériorise. Que c’est bon la baise !
    
    Le dormeur pionce toujours mais sa gaule demeure raide et vigoureuse, peut-être rêve-t-il qu’il se paye une partie de touche-pipi ...
    ... et qu’une nénette le chevauche (cela s’appelle joindre le rêve à la réalité, sic).
    
    Haletante, elle monte, elle descend, au-dessus du ventre du bandeur, coulissant en longs allers-retours le long du cylindre de chairs endurcies. Ses jambes, ses cuisses, telles des bielles bien huilées, se replient, se détendent à un rythme qui s’accélère à chaque cycle, son torse, ses reins, son cul, tout son corps ne lui obéissent plus, le maître c’est ce sexe qui la pénètre, la possède.
    
    Le point de non retour est franchi, elle va jouir de tout son corps, de toutes ses fibres. Son ventre se bouleverse, une déferlante le ravage, son con se contracte sur le pieu qui l’empale, elle sent les tressautements désordonnés du gland, la semence jaillit par saccades, relançant l’incendie qui lui dévore le bas ventre.
    
    Ensemble, ils jouissent, libérant un orgasme fabuleux…
    
    Puis c’est l’extase, ce moment que l’on voudrait interminable où les corps pétrifiés savourent la plénitude du plaisir. Encore quelques secondes puis elle se désenclave avec lenteur, comme à regret. En soupirant, elle reprend pied, un bond jusqu’au cabinet de toilette d’où elle revient armée d’un gant humide. Rapidement elle élimine les traces grasses, remet les outils en place et ferme le tout. Bon, tout danger de voir l’inconnu sortir de sa torpeur, avec la bite à l’air, est écarté, elle peut maintenant, procéder à sa propre toilette et se torcher tranquillement les parties intimes.
    
    Elle reprend sa faction. Il est 2h ...
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