1. Les meilleures choses ont une fin


    Datte: 11/02/2018, Catégories: fh, ff, Humour fantastiqu, Auteur: Jeff169, Source: Revebebe

    ... rentrer, on marche plus vite qu’hier, faut dire que cette fois il fait vraiment froid. La nuit est tombée complètement pendant qu’on sirotait non chocolats et qu’on s’amusait à des jeux de coulissements humides pour doigts agiles. Il y a une sorte de vent froid du nord qui charrie des flocons fondus. On se les prend dans la tronche alors que les mains sont au fond des poches et que les têtes tentent de rentrer dans le cou façon tortue tout en s’inclinant vers le bas, évitant aux visages d’être fouettés par le blizard.
    
    ***
    
    Sur le lit, dans la chambre surchauffée par le renfort du petit radiateur électrique, après un quart d’heure de mamours et papouilles variées, j’en ai trop envie. Je me mets sur le dos, relève et écarte les cuisses, l’attire à moi en lui prenant une main.
    
    — Viens.
    
    Je dégouline suite à ses caresses appliquées. J’amène ses doigts vers mon visage, elle s’avance en se prêtant au jeu, je salive largement cette main en essayant de la rentrer complètement dans la bouche. Alors elle s’allonge sur le flanc, love son visage dans mon cou en mêlant nos poitrines, puis sa main descend et s’approche de ma chatte frémissante.
    
    — T’es sûre ? elle murmure.
    — On peut toujours essayer.
    
    Puis on éclate de rire toutes les deux, ce qui rompt un peu la tension érotique, c’est quand même bien.
    
    C’est étrange cette situation, il y a quelques années, quand je l’ai déflorée, c’était le contraire. Je ne sais pas si j’en ai une grosse et me moque un peu de ce genre ...
    ... de considérations. Laurence, menue, aux hanches fines, bien que musclée et charnue, Laurence est si étroite ! On avait mis du temps la première fois. Je lui demandais si elle voulait qu’on le fasse une autre fois. Non, vas-y, continue. Je sentais que ça rentrait pas comme une lettre à la poste. Ça m’excitait quelque part, cette comparaison morphologique, ma queue de la même taille que ses fins poignets.
    
    Son bras glisse vers l’intérieur de mes cuisses. Les doigt tendus fouillent doucement, trouvent l’entrée. J’écarte les jambes, pour l’inviter, je retiens mon souffle, me détends. Deux doigts commencent, rentrent tout de suite. Ces doigts fins glissent en frottant à peine. Après le renfort des deux autres, les quatre se fraient un passage. De quelques mouvements forts, je sens son pouce qui, à l’extérieur, presse le clitoris. Elle continue ainsi, longtemps, je commence à me liquéfier.
    
    Plus tard, ressortant presque tous les doigts, elle replie le pouce pour le joindre aux quatre autres. Je sens à son souffle accéléré, comme si cela lui fait encore plus d’effet à elle qu’à moi, que l’idée même de pratiquer cette pénétration la met dans cet état incroyable, comme si elle allait jouir sans même être caressée. Elle relève la tête et on se regarde dans les yeux malgré la pénombre. Sa main entière force le passage qui petit à petit s’ouvre. Je la sens pousser, elle veut m’empaler de sa main qui me pénètre, phalange après phalange. La main s’engouffre, elle me fourre alors de son ...
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